DICTIONNAIRE DES DONNEES

Station de mesure de la qualité des eaux superficielles continentales

URI: http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1
Code Sandre: STQ
Version:
Statut: Validé
Description des stations de mesure de la qualité des eaux superficielles continentales
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PERIODE D'APPARTENANCE D'UNE STATION DE MESURE A UN RESEAU

Une station de mesure, et plus particulièrement ses points de prélèvement sont généralement créés à la suite de la mise en place d'un réseau de mesure. Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la période d'appartenance sera précisée. Lorsque le point de prélèvement n'est pas connu ou n'existe pas, il est indiqué "Sans objet", c'est à dire "XXX". Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/AppartenanceReseauMesure
AppartenanceReseauMesure

Liste des propriétés:

La date du début d'appartenance d'une station à un réseau de mesure est la date à laquelle débute l'association d'un des points (ou à défaut d'une station de mesure) à un réseau de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateDebutAppartReseauMesure
DateDebutAppartReseauMesure
La date du début d'appartenance d'une station à un réseau de mesure est la date à laquelle débute l'association d'un des points (ou à défaut d'une station de mesure) à un réseau de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:DateType

La date de fin d'appartenance d'une station de mesure à un réseau est la date à laquelle termine l'utilisation du point (ou à défaut la station de mesure) dans le cadre d'un réseau de mesure. Elle correspond à la date de fin d'appartenance de l'en...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateFinAppartReseauMesure
DateFinAppartReseauMesure
La date de fin d'appartenance d'une station de mesure à un réseau est la date à laquelle termine l'utilisation du point (ou à défaut la station de mesure) dans le cadre d'un réseau de mesure. Elle correspond à la date de fin d'appartenance de l'ensemble des points de prélèvements de la station à ce réseau. Cette date, donnée au jour près, relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Liste des associations:

Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfon...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PointPrelEauxSurf
PointPrelEauxSurf
Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Relations externe:

Les dispositifs de collecte des données sur l’eau désignent tout dispositif (tout moyen) qui permet par mesure ou non d’acquérir des données (des connaissances) sur : les milieux aquatique et marin les ressources en eau les usages de l’eau les p...

http://id.eaufrance.fr/ddd/DC/2003-2/DispositifCollecte
RsxStation
Les dispositifs de collecte des données sur l’eau désignent tout dispositif (tout moyen) qui permet par mesure ou non d’acquérir des données (des connaissances) sur : les milieux aquatique et marin les ressources en eau les usages de l’eau les pressions (et impacts associés) qui s’exercent sur les milieux et les ressources les données économiques afférentes Les données ainsi collectées doivent être fiables, pérennes et actualisées. On distingue : les réseaux de mesure les dispositifs de l’autosurveillance les autres dispositifs de collecte rassemblant les enquêtes, inventaires, recensements, déclarations faites auprès des administrations et instructions administratives. Le dispositif de collecte doit être organisé afin de collecter de manière régulière ou suffisamment pérenne les informations. Ces données produites par les dispositifs de collecte ne sont pas obligatoirement informatisées. Un dispositif de collecte est associé à un ou plusieurs départements qui correspondent à son emprise de collecte. Plusieurs cas possibles : Le dispositif de collecte appartient à un département et un seul, Le dispositif de collecte appartient à plusieurs départements, Le dispositif de collecte appartient à une partie de département (communauté de communes,…), dans ce cas, il est associé au département. Le dispositif de collecte est régional donc tous les départements de la région concernée. Le dispositif de collecte est à l’échelle du bassin. Dans ce cas, il est associé à tous les départements du bassin, Le dispositif de collecte est à l’échelle nationale. Dans ce cas, il est associé à tous les départements du territoire. Exemple : Dispositif de collecte des SATESE Un ou plusieurs intervenants participent au fonctionnement du dispositif durant une période déterminée ou indeterminée. Chaque intervenant du dispositif est caractérisé par un rôle particulier : maître d’ouvrage, maître(s) d’œuvre, financeur(s) ou producteur(s) de la donnée. D’après la circulaire du 26 mars 2002 relative au Système National d’Information sur l’eau, un seul maître d’ouvrage est responsable du réseau ou de la collecte de données. Certains dispositifs de collecte sont nommés 'méta dispositif de collecte'. Ils correspondent à un regroupement d’un ensemble de dispositifs de collecte existant. Ce regroupement est réalisé en raison : soit d’une agglomération à une échelle administrative plus importante. Par exemple, le RGA peut être défini en tant que dispositif de collecte par département, auquel s’ajoute un méta dispositif de collecte RGA national regroupant l’ensemble des RGA, soit d’un niveau de bassin à une échelle nationale, par exemple le regroupement des RNB de chaque bassin constitue le RNB national bénéficiant d’un protocole, soit d’un regroupement technique ou thématique comme le réseau de mesure 'Réseau littoral Méditerranéen' (RLM), La cohérence du méta dispositif provient de règles communes s’appliquant à l’ensemble des dispositifs de collecte associés. De façon générale, le méta dispositif de collecte n’a pas de maître d’ouvrage. Il lui correspond un ensemble de maître d’ouvrage des réseaux élémentaires constitutifs du méta dispositif.
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AUTRES COORDONNEES DE LA STATION DE MESURE

La station de mesure de la qualité des eaux de surface est localisée géographiquement en un point toujours unique mais les coordonnées X et Y de ce point peuvent être saisies dans différents systèmes de projection. Les coordonnées principales de la station de mesure sont indiquées comme information de la station de mesure. Les coordonnées dans un autre système de projection sont indiquées dans les autres coordonnées de la station de mesure. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/AutreCoordStationMesureEauxSurf
AutreCoordStationMesureEauxSurf

Liste des propriétés:

Cet attribut est un code à deux positions qui indique la projection dans laquelle s'expriment les autres coordonnées de la station de mesure. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle est supérieure ou égale au 50 000e....

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ProjAutreCoordStationMesureEauxSurf
ProjAutreCoordStationMesureEauxSurf
Cet attribut est un code à deux positions qui indique la projection dans laquelle s'expriment les autres coordonnées de la station de mesure. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle est supérieure ou égale au 50 000e. La liste des codes possibles relève de la nomenclature suivante administrée par le SANDRE. Nomenclature : Projection des coordonnées / PEZ / 2000 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Projection inconnue ! Projection inconnue 1 ! Lambert I Nord ! Lambert I Nord 2 ! Lambert II Centre ! Lambert II Centre 3 ! Lambert III Sud ! Lambert III Sud 4 ! Lambert IV Corse ! Lambert IV Corse 5 ! Lambert II Etendu ! Lambert II Etendu 6 ! Lambert I Carto ! Lambert I Carto 7 ! Lambert II Carto ! Lambert II Carto 8 ! Lambert III Carto ! Lambert III Carto 9 ! Lambert IV Carto ! Lambert IV Carto 10 ! ED50 UTM30 ! ED50 UTM30 11 ! ED50 UTM31 ! ED50 UTM31 12 ! ED50 UTM32 ! ED50 UTM32 13 ! WGS72 UTM30 ! WGS72 UTM30 14 ! WGS72 UTM31 ! WGS72 UTM31 15 ! WGS72 UTM31 ! WGS72 UTM32 16 ! WGS84 UTM30 ! WGS84 UTM30 17 ! WGS84 UTM31 ! WGS84 UTM31 18 ! WGS84 UTM32 ! WGS84 UTM32 19 ! Réunion Gauss Laborde ! Réunion Gauss Laborde 20 ! Martinique Fort Desaix ! Martinique Fort Desaix 21 ! Guadeloupe Saint-Anne ! Guadeloupe Saint-Anne 22 ! Guyane CSG67UTM21 ! Guyane CSG67UTM21 23 ! Guyane CSG67UTM22 ! Guyane CSG67UTM22 24 ! Mayotte Combani ! Mayotte Combani 25 ! Saint Pierre et Miquelon ! Saint Pierre et Miquelon 26 ! Lambert 93 ! Lambert 93 ---------------------------------------------------------------------- ED50 UTM30 : ------------ Equivalence EDIGEO : UTM30 ED50 UTM31 : ------------ Equivalence EDIGEO : UTM31 ED50 UTM32 : ------------ Equivalence EDIGEO : UTM32 Guadeloupe Saint-Anne : ----------------------- Equivalence EDIGEO : GUAD48UTM20 Guyane CSG67UTM21 : ------------------- Equivalence EDIGEO : CSG67UTM21 Guyane CSG67UTM22 : ------------------- Equivalence EDIGEO : CSG67UTM22 Lambert 93 : ------------ Sans équivalence EDIGEO Lambert I Carto : ----------------- Equivalence EDIGEO : LAMB1C Lambert I Nord : ---------------- Equivalence EDIGEO : LAMB1 Lambert II Carto : ------------------ Equivalence EDIGEO : LAMB2C Lambert II Centre : ------------------- Equivalence EDIGEO : LAMB2 Lambert II Etendu : ------------------- Equivalence EDIGEO : LAMBE Lambert III Carto : ------------------- Equivalence EDIGEO : LAMB3C Lambert III Sud : ----------------- Equivalence EDIGEO : LAMB3 Lambert IV Carto : ------------------ Equivalence EDIGEO : LAMB4C Lambert IV Corse : ------------------ Equivalence EDIGEO : LAMB4 Martinique Fort Desaix : ------------------------ Equivalence EDIGEO : MART38UTM20 Mayotte Combani : ----------------- Equivalence EDIGEO : COMBANI Projection inconnue : --------------------- Sans équivalence EDIGEO Réunion Gauss Laborde : ----------------------- Equivalence EDIGEO : REUN47GAUSSL Saint Pierre et Miquelon : -------------------------- Equivalence EDIGEO : STPM50UTM21 WGS72 UTM30 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM30W72 WGS72 UTM31 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM31W72 WGS72 UTM32 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM32W72 WGS84 UTM30 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM30W84 WGS84 UTM31 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM31W84 WGS84 UTM32 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM32W84 Fin de la nomenclature Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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L'autre coordonnée X du point caractéristique de la station de mesure est la coordonnée X de la station de mesure dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection", autre que celles indiquée dans l'attribur "Coordonnée X du point ca...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/AutreCoordXStationMesureEauxSurf
AutreCoordXStationMesureEauxSurf
L'autre coordonnée X du point caractéristique de la station de mesure est la coordonnée X de la station de mesure dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection", autre que celles indiquée dans l'attribur "Coordonnée X du point caractéristique de la station de mesure". Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les sites industriels situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 0 à 1 250 000. Pour les stations de mesure situées en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée X de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection". Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et prend une valeur comprise dans une plage variant au maximum de 0 à +833 000 au niveau de l'équateur. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 1/50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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L'autre coordonnée Y du point caractéristique de la station de mesure est la coordonnée Y de la station de mesure dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection", autre que celles indiquée dans l'attribur "Coordonnée X du point ca...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/AutreCoordYstationMesureEauxSurf
AutreCoordYstationMesureEauxSurf
L'autre coordonnée Y du point caractéristique de la station de mesure est la coordonnée Y de la station de mesure dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection", autre que celles indiquée dans l'attribur "Coordonnée X du point caractéristique de la station de mesure". Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les sites industriels dans le milieu situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 6 000 000 à 7 100 000. Pour les stations de mesure situées en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée Y de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection". Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage allant de - 10 000 000 (pour le pôle Sud) à + 10 000 000 (pour le pôle Nord). Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 1/50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:NumericType

Le mode d'obtention définit, à l'aide des codes ci-dessous administrés par le SANDRE, les modalités d'acquisition des autres coordonnées du point caractéristique de la station de mesure. Nomenclature : Mode d'obtention des coordonnées de l'ouvrag...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ModeObtentionAutreCoordStationMesureEauxSurf
ModeObtentionAutreCoordStationMesureEauxSurf
Le mode d'obtention définit, à l'aide des codes ci-dessous administrés par le SANDRE, les modalités d'acquisition des autres coordonnées du point caractéristique de la station de mesure. Nomenclature : Mode d'obtention des coordonnées de l'ouvrage de dépollution / CXN / 2001 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Inconnu ! Mode d'obtention inconnu 1 ! Relevées ! Coordonnées relevées (précision le millimètre) 2 ! Mesurées ! Coordonnées mesurées (précision le mètre) 3 ! Etablies ! Coordonnées établies (précision le décamètre) 4 ! Estimées ! Coordonnées estimées (précision le kilomètre) ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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EXCEPTION TYPOLOGIQUE

L'exception typologique permet de préciser si la station de mesure est située dans une zone géographique spécifique dans laquelle les valeurs de certains paramètres (DCO, oxygène,...) sont naturellement moins sévères (en l'absence d'influence anthropiques connues) que dans le reste du territoire. Il existe aujourd'hui 6 zones d'exception typologiques : Nomenclature : Exception typologique / QES / 2001 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! Type 1 ! Type 1 : nappe alluviale d'Alsace 2 ! Type 2 ! Type 2 : plateau de Millevaches 3 ! Type 3 ! Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers 4 ! Type 4 ! Type 4 : haut bassin de la Vienne 5 ! Type 5 ! Type 5 : Zones aux valeurs MES 6 ! Type 6 ! Type 6 : zones de tourbière ---------------------------------------------------------------------- Type 1 : nappe alluviale d'Alsace : ----------------------------------- Type 1 (nappe alluviale d’Alsace) les valeurs pour la saturation en oxygène sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 2 : plateau de Millevaches : --------------------------------- Type 2 (plateau de Millevaches) : les valeurs pour la saturation en oxygène, la DCO, le COD et le NKJ sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers : ------------------------------------------- Type 3 (substrats argilo-marneux du Gers) : les valeurs pour la saturation en oxygène et l’oxygène dissous sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 4 : haut bassin de la Vienne : ----------------------------------- Type 4 (haut bassin de la Vienne) : les valeurs pour le pH sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 5 : Zones aux valeurs MES : -------------------------------- Type 5 : les valeurs de MES sont moins sévères dans ces zones que dans le reste du territoire. Type 6 : zones de tourbière : ------------------------------ Type 6 : les valeurs pour le COD sont moins sévères dans ces zones de tourbières que dans le reste du territoire. Fin de la nomenclature Cette information relève de la responsabilité de l'administrateur du Système d'Evaluation de la Qualité des Eaux (SEQ'EAU).

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ExceptionTypo
ExceptionTypo

Liste des propriétés:

Le code de l'exception typologique est l'identifiant non signifiant d'une exception typologique. Il existe aujourd'hui 6 zones d'exception typologiques : Nomenclature : Exception typologique / QES / 2001 - 1 -----------------------------------...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CdExceptionTypo
CdExceptionTypo
Le code de l'exception typologique est l'identifiant non signifiant d'une exception typologique. Il existe aujourd'hui 6 zones d'exception typologiques : Nomenclature : Exception typologique / QES / 2001 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! Type 1 ! Type 1 : nappe alluviale d'Alsace 2 ! Type 2 ! Type 2 : plateau de Millevaches 3 ! Type 3 ! Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers 4 ! Type 4 ! Type 4 : haut bassin de la Vienne 5 ! Type 5 ! Type 5 : Zones aux valeurs MES 6 ! Type 6 ! Type 6 : zones de tourbière ---------------------------------------------------------------------- Type 1 : nappe alluviale d'Alsace : ----------------------------------- Type 1 (nappe alluviale d’Alsace) les valeurs pour la saturation en oxygène sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 2 : plateau de Millevaches : --------------------------------- Type 2 (plateau de Millevaches) : les valeurs pour la saturation en oxygène, la DCO, le COD et le NKJ sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers : ------------------------------------------- Type 3 (substrats argilo-marneux du Gers) : les valeurs pour la saturation en oxygène et l’oxygène dissous sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 4 : haut bassin de la Vienne : ----------------------------------- Type 4 (haut bassin de la Vienne) : les valeurs pour le pH sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 5 : Zones aux valeurs MES : -------------------------------- Type 5 : les valeurs de MES sont moins sévères dans ces zones que dans le reste du territoire. Type 6 : zones de tourbière : ------------------------------ Type 6 : les valeurs pour le COD sont moins sévères dans ces zones de tourbières que dans le reste du territoire. Fin de la nomenclature Cette information relève de la responsabilité de l'administrateur du Système d'Evaluation de la Qualité des Eaux (SEQ'EAU).
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Le mnémonique de l'excption typologique est un nom sur 25 caractères qui désigne l'exception typologique. Cet attribut créé à des fins d'exploitation informatique peut contenir des sigles ou des abréviations. Nomenclature : Exception typologique ...

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MnExceptionTypo
Le mnémonique de l'excption typologique est un nom sur 25 caractères qui désigne l'exception typologique. Cet attribut créé à des fins d'exploitation informatique peut contenir des sigles ou des abréviations. Nomenclature : Exception typologique / QES / 2001 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! Type 1 ! Type 1 : nappe alluviale d'Alsace 2 ! Type 2 ! Type 2 : plateau de Millevaches 3 ! Type 3 ! Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers 4 ! Type 4 ! Type 4 : haut bassin de la Vienne 5 ! Type 5 ! Type 5 : Zones aux valeurs MES 6 ! Type 6 ! Type 6 : zones de tourbière ---------------------------------------------------------------------- Type 1 : nappe alluviale d'Alsace : ----------------------------------- Type 1 (nappe alluviale d’Alsace) les valeurs pour la saturation en oxygène sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 2 : plateau de Millevaches : --------------------------------- Type 2 (plateau de Millevaches) : les valeurs pour la saturation en oxygène, la DCO, le COD et le NKJ sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers : ------------------------------------------- Type 3 (substrats argilo-marneux du Gers) : les valeurs pour la saturation en oxygène et l’oxygène dissous sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 4 : haut bassin de la Vienne : ----------------------------------- Type 4 (haut bassin de la Vienne) : les valeurs pour le pH sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 5 : Zones aux valeurs MES : -------------------------------- Type 5 : les valeurs de MES sont moins sévères dans ces zones que dans le reste du territoire. Type 6 : zones de tourbière : ------------------------------ Type 6 : les valeurs pour le COD sont moins sévères dans ces zones de tourbières que dans le reste du territoire. Fin de la nomenclature Cette information relève de la responsabilité de l'administrateur du Système d'Evaluation de la Qualité des Eaux (SEQ'EAU).
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Le libellé de l'exception typologique précise l'appellation courante d'une exception typologique. Il existe aujourd'hui 6 zones d'exception typologiques : Nomenclature : Exception typologique / QES / 2001 - 1 ---------------------------------...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/LbExceptionTypo
LbExceptionTypo
Le libellé de l'exception typologique précise l'appellation courante d'une exception typologique. Il existe aujourd'hui 6 zones d'exception typologiques : Nomenclature : Exception typologique / QES / 2001 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! Type 1 ! Type 1 : nappe alluviale d'Alsace 2 ! Type 2 ! Type 2 : plateau de Millevaches 3 ! Type 3 ! Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers 4 ! Type 4 ! Type 4 : haut bassin de la Vienne 5 ! Type 5 ! Type 5 : Zones aux valeurs MES 6 ! Type 6 ! Type 6 : zones de tourbière ---------------------------------------------------------------------- Type 1 : nappe alluviale d'Alsace : ----------------------------------- Type 1 (nappe alluviale d’Alsace) les valeurs pour la saturation en oxygène sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 2 : plateau de Millevaches : --------------------------------- Type 2 (plateau de Millevaches) : les valeurs pour la saturation en oxygène, la DCO, le COD et le NKJ sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers : ------------------------------------------- Type 3 (substrats argilo-marneux du Gers) : les valeurs pour la saturation en oxygène et l’oxygène dissous sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 4 : haut bassin de la Vienne : ----------------------------------- Type 4 (haut bassin de la Vienne) : les valeurs pour le pH sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 5 : Zones aux valeurs MES : -------------------------------- Type 5 : les valeurs de MES sont moins sévères dans ces zones que dans le reste du territoire. Type 6 : zones de tourbière : ------------------------------ Type 6 : les valeurs pour le COD sont moins sévères dans ces zones de tourbières que dans le reste du territoire. Fin de la nomenclature Cette information relève de la responsabilité de l'administrateur du Système d'Evaluation de la Qualité des Eaux (SEQ'EAU).
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La définition de l'exception typologique précise pour chaque exception possible, décrite dans la nomenclature suivante, la signification précise de chaque occurence. Nomenclature : Exception typologique / QES / 2001 - 1 -------------------------...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DefExceptionTypo
DefExceptionTypo
La définition de l'exception typologique précise pour chaque exception possible, décrite dans la nomenclature suivante, la signification précise de chaque occurence. Nomenclature : Exception typologique / QES / 2001 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! Type 1 ! Type 1 : nappe alluviale d'Alsace 2 ! Type 2 ! Type 2 : plateau de Millevaches 3 ! Type 3 ! Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers 4 ! Type 4 ! Type 4 : haut bassin de la Vienne 5 ! Type 5 ! Type 5 : Zones aux valeurs MES 6 ! Type 6 ! Type 6 : zones de tourbière ---------------------------------------------------------------------- Type 1 : nappe alluviale d'Alsace : ----------------------------------- Type 1 (nappe alluviale d’Alsace) les valeurs pour la saturation en oxygène sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 2 : plateau de Millevaches : --------------------------------- Type 2 (plateau de Millevaches) : les valeurs pour la saturation en oxygène, la DCO, le COD et le NKJ sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers : ------------------------------------------- Type 3 (substrats argilo-marneux du Gers) : les valeurs pour la saturation en oxygène et l’oxygène dissous sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 4 : haut bassin de la Vienne : ----------------------------------- Type 4 (haut bassin de la Vienne) : les valeurs pour le pH sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 5 : Zones aux valeurs MES : -------------------------------- Type 5 : les valeurs de MES sont moins sévères dans ces zones que dans le reste du territoire. Type 6 : zones de tourbière : ------------------------------ Type 6 : les valeurs pour le COD sont moins sévères dans ces zones de tourbières que dans le reste du territoire. Fin de la nomenclature Cette information relève de la responsabilité de l'administrateur du Système d'Evaluation de la Qualité des Eaux (SEQ'EAU).
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Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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HISTORIQUE DES GESTIONNAIRES DE L'EQUIPEMENT DU POINT DE PRELEVEMENT

L'historique des gestionnaires de l'équipement du point de prélèvement précise la liste des intervenants qui ont par le passé, ou bien actuellement, assuré la fonction de gestionnaire de l'équipement du point de prélèvement pour une période donnée. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/HistGestionnaireEquipement
HistGestionnaireEquipement

Liste des propriétés:

La date de prise de fonction de gestionnaire de l'équipement est la date, exprimée au jour près, à laquelle un intervenant devient gestionnaire d'un équipement implanté sur un point de prélèvement précis. Ces informations sont administrées par l...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DatePriseFonctionGestionnaire
DatePriseFonctionGestionnaire
La date de prise de fonction de gestionnaire de l'équipement est la date, exprimée au jour près, à laquelle un intervenant devient gestionnaire d'un équipement implanté sur un point de prélèvement précis. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La date de prise de fonction de gestionnaire de l'équipement est la date, exprimée au jour près, à laquelle un intervenant cesse d'être gestionnaire d'un équipement implanté sur un point de prélèvement précis. Ces informations sont administrées ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateFinFonctionGestionnaire
DateFinFonctionGestionnaire
La date de prise de fonction de gestionnaire de l'équipement est la date, exprimée au jour près, à laquelle un intervenant cesse d'être gestionnaire d'un équipement implanté sur un point de prélèvement précis. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Liste des associations:

Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfon...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PointPrelEauxSurf
PointPrelEauxSurf
Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Les intervenants sont tous les organismes ayant un ou plusieurs rôle(s) en tant qu’acteur de l’eau et qui sont référencés dans les bases de données respectant le formalisme du SANDRE. Ils sont identifiés dans les échanges de données par leur code ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/INT/2.0/Intervenant
IntEquipement
Les intervenants sont tous les organismes ayant un ou plusieurs rôle(s) en tant qu’acteur de l’eau et qui sont référencés dans les bases de données respectant le formalisme du SANDRE. Ils sont identifiés dans les échanges de données par leur code SIRET. Quand ce dernier ne peut pas exister car l'intervenant ne rentre pas dans le domaine d'application du registre national ou lorsque ce code ne permet pas d’identifier de manière univoque l’intervenant (cas des structures incluses dans une structure plus générale), il est alors identifié par son code SANDRE. Ils se partagent entre plusieurs catégories dont : - laboratoire d'analyse, - préleveur, - opérateur en hydrométrie, - laboratoire d'hydrobiologie, - organisme chargé de la police des eaux, - producteur/ gestionnaire, - … Deux informations sont utilisées pour identifier un intervenant : son code et le code SIRET de l’organisme auquel il est rattaché : - Cas 1 : l’organisme est SIRETE, par exemple un laboratoire. Le code SIRET est utilisé, aucun code SANDRE n’est indiqué. L’attribut “ code SIRET de l’organisme auquel est rattaché l’intervenant ” n’est pas rempli, - Cas 2 : l’organisme n’a pas de code SIRET, dans ce cas, il est attribué un code SANDRE. L’attribut “ code SIRET de l’organisme auquel est rattaché l’intervenant ” n’est pas rempli, - Cas 3 : l’organisme n’a pas de code SIRET en tant qu’établissement mais est rattaché à une structure, par exemple le SATESE rattaché au Conseil Général. Dans ce cas, il est attribué un code SANDRE et l’attribut “ code SIRET de l’organisme auquel est rattaché l’intervenant ” est rempli avec le code SIRET, dans l’exemple, celui du Conseil Général. La liste nationale des codes SANDRE des intervenants est établie sous la responsabilité du SANDRE. Le code SIRET est établi par l'INSEE.
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HISTORIQUE DES PROPRIETAIRES DE L'EQUIPEMENT DU POINT DE PRELEVEMENT

L'historique des propriétaires de l'équipement du point de prélèvement précise la liste des intervenants qui ont par le passé, ou bien actuellement, assuré la fonction de propriétaire de l'équipement du point de prélèvement pour une période donnée. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/HistProprietaireEquipement
HistProprietaireEquipement

Liste des propriétés:

La date de prise de fonction de propriétaire de l'équipement est la date, exprimée au jour près, à laquelle un intervenant devient propriétaire d'un équipement implanté sur un point de prélèvement précis. Ces informations sont administrées par l...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DatePriseFonctionProprietaire
DatePriseFonctionProprietaire
La date de prise de fonction de propriétaire de l'équipement est la date, exprimée au jour près, à laquelle un intervenant devient propriétaire d'un équipement implanté sur un point de prélèvement précis. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La date de prise de fonction de propriétaire de l'équipement est la date, exprimée au jour près, à laquelle un intervenant cesse d'être propriétaire d'un équipement implanté sur un point de prélèvement précis. Ces informations sont administrées ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateFinFonctionProprietaire
DateFinFonctionProprietaire
La date de prise de fonction de propriétaire de l'équipement est la date, exprimée au jour près, à laquelle un intervenant cesse d'être propriétaire d'un équipement implanté sur un point de prélèvement précis. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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cct:DateType

Liste des associations:

Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfon...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PointPrelEauxSurf
PointPrelEauxSurf
Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Les intervenants sont tous les organismes ayant un ou plusieurs rôle(s) en tant qu’acteur de l’eau et qui sont référencés dans les bases de données respectant le formalisme du SANDRE. Ils sont identifiés dans les échanges de données par leur code ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/INT/2.0/Intervenant
IntEquipement
Les intervenants sont tous les organismes ayant un ou plusieurs rôle(s) en tant qu’acteur de l’eau et qui sont référencés dans les bases de données respectant le formalisme du SANDRE. Ils sont identifiés dans les échanges de données par leur code SIRET. Quand ce dernier ne peut pas exister car l'intervenant ne rentre pas dans le domaine d'application du registre national ou lorsque ce code ne permet pas d’identifier de manière univoque l’intervenant (cas des structures incluses dans une structure plus générale), il est alors identifié par son code SANDRE. Ils se partagent entre plusieurs catégories dont : - laboratoire d'analyse, - préleveur, - opérateur en hydrométrie, - laboratoire d'hydrobiologie, - organisme chargé de la police des eaux, - producteur/ gestionnaire, - … Deux informations sont utilisées pour identifier un intervenant : son code et le code SIRET de l’organisme auquel il est rattaché : - Cas 1 : l’organisme est SIRETE, par exemple un laboratoire. Le code SIRET est utilisé, aucun code SANDRE n’est indiqué. L’attribut “ code SIRET de l’organisme auquel est rattaché l’intervenant ” n’est pas rempli, - Cas 2 : l’organisme n’a pas de code SIRET, dans ce cas, il est attribué un code SANDRE. L’attribut “ code SIRET de l’organisme auquel est rattaché l’intervenant ” n’est pas rempli, - Cas 3 : l’organisme n’a pas de code SIRET en tant qu’établissement mais est rattaché à une structure, par exemple le SATESE rattaché au Conseil Général. Dans ce cas, il est attribué un code SANDRE et l’attribut “ code SIRET de l’organisme auquel est rattaché l’intervenant ” est rempli avec le code SIRET, dans l’exemple, celui du Conseil Général. La liste nationale des codes SANDRE des intervenants est établie sous la responsabilité du SANDRE. Le code SIRET est établi par l'INSEE.
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NIVEAU TYPOLOGIQUE BIOLOGIQUE AU DROIT DE LA STATION

Le cortège des espèces floristiques et faunistiques d’un cours d’eau évolue naturellement de l’amont vers l’aval des cours d’eau sous l’influence des changements de certains paramètres abiotiques (c’est-à-dire non biologiques : minéralisation de l’eau, vitesse du courant, température de l’eau, etc...). Le niveau typologique s'inscrit dans un système de zonation amont-aval représentatif de ce phénomène et décrit pour la première fois par Verneaux (Verneaux, J. (1977) Biotypologie de l’écosystème « eau courante ». Déterminisme approché de la structure biotypologique, pp. 77-79, compte rendu de l’académie des sciences de Paris, Série D, Paris). Il s’affine actuellement avec la notion de région ichyo-géographique. A chaque niveau typologique correspond un édifice biologique théorique qui lui est propre. On distingue en premier lieu le niveau typologique théorique (noté T0 à T9) calculé à partir des six paramètres abiotiques et le niveau typologique biologique (noté B0 à B9) estimé à partir des communautés vivantes. L'écart entre un peuplement installé sur un point et celui que l'on devrait normalement y trouver renseigne sur l'intensité des dégradations du milieu. Dans la pratique, seuls les peuplements de poissons sont couramment utilisés pour la définition du niveau typologique biologique. On distingue deux niveaux typologiques théoriques : - le niveau typologique théorique originel c’est-à-dire le niveau typologique qui serait obtenu si la rivière n’avait subi aucune perturbation, - le niveau typologique théorique constaté qui prend en compte les influences anthropiques qui viendraient à modifier tout ou partie des six paramètres abiotiques de base (par exemple augmentation de la température ou de la dureté par rejets, augmentation de la section mouillée par création de biefs...). C’est le niveau typologique biologique théorique qui est pris en compte ici. Il est calculé sur la base de données disponibles dans la bibliographie (compte rendu de pêches éléctriques...) dont on ne conservera que les références. Le calcul du niveau typologique biologique relève de la responsabilité du producteur de données.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NiveauTypologiqueBiologique
NiveauTypologiqueBiologique

Liste des propriétés:

Date, exprimée au jour près, à laquelle les données servant au calcul du niveau typologique biologique ont été acquises. Il s'agit par exemple de la date de la pêche électrique. La date du niveau typologique biologique relève de la responsabilité...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateEstimationNiveauTypologiqueBiologique
DateEstimationNiveauTypologiqueBiologique
Date, exprimée au jour près, à laquelle les données servant au calcul du niveau typologique biologique ont été acquises. Il s'agit par exemple de la date de la pêche électrique. La date du niveau typologique biologique relève de la responsabilité du producteur de données.
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Le niveau typologique biologique au droit de la station est l'un des codes de la liste ci-dessous établi à partir de données bibliographiques établies sur la station à une date donnée. Nomenclature : Niveau typologique biologique ---------------...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NiveauTB
NiveauTB
Le niveau typologique biologique au droit de la station est l'un des codes de la liste ci-dessous établi à partir de données bibliographiques établies sur la station à une date donnée. Nomenclature : Niveau typologique biologique ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Inconnu ! Inconnu 1 ! B0 ! B0 2 ! B0 / B1 ! B0 / B1 3 ! B1 ! B1 4 ! B1 / B2 ! B1 / B2 5 ! B2 ! B2 6 ! B2 / B3 ! B2 / B3 7 ! B3 ! B3 8 ! B3 / B4 ! B3 / B4 9 ! B4 ! B4 10 ! B4 / B5 ! B4 / B5 11 ! B5 ! B5 12 ! B5 / B6 ! B5 / B6 13 ! B6 ! B6 14 ! B6 / B7 ! B6 / B7 15 ! B7 ! B7 16 ! B7 / B8 ! B7 / B8 17 ! B8 ! B8 18 ! B8 / B9 ! B8 / B9 19 ! B9 ! B9 ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature Le calcul du niveau typologique biologique relève de la responsabilité du producteur de données.
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La source des données est la référence bibliographique du document ayant servi à établir le niveau typologique biologique. Le calcul du niveau typologique biologique relève de la responsabilité du producteur de données.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/SourceDonneesNiveauTypologiqueBiologique
SourceDonneesNiveauTypologiqueBiologique
La source des données est la référence bibliographique du document ayant servi à établir le niveau typologique biologique. Le calcul du niveau typologique biologique relève de la responsabilité du producteur de données.
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Interprétation du producteur de données sur le niveau typologique originel au droit de la station ou sur la source bibliographique ayant servi à le calculer. Les commentaires sur le niveau typologique biologique relève de la responsabilité du pro...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ComNTB
ComNTB
Interprétation du producteur de données sur le niveau typologique originel au droit de la station ou sur la source bibliographique ayant servi à le calculer. Les commentaires sur le niveau typologique biologique relève de la responsabilité du producteur de données.
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cct:TextType

Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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NIVEAU TYPOLOGIQUE THEORIQUE CONSTATE AU DROIT DE LA STATION

Le cortège des espèces floristiques et faunistiques d’un cours d’eau évolue naturellement de l’amont vers l’aval des cours d’eau sous l’influence des changements de certains paramètres abiotiques (c’est-à-dire non biologiques : minéralisation de l’eau, vitesse du courant, température de l’eau, etc...). Le niveau typologique s'inscrit dans un système de zonation amont-aval représentatif de ce phénomène et décrit pour la première fois par Verneaux (Verneaux, J. (1977) Biotypologie de l’écosystème « eau courante ». Déterminisme approché de la structure biotypologique, pp. 77-79, compte rendu de l’académie des sciences de Paris, Série D, Paris). Il s’affine actuellement avec la notion de région ichyo-géographique. A chaque niveau typologique correspond un édifice biologique théorique qui lui est propre. On distingue en premier lieu le niveau typologique théorique (noté T0 à T9) calculé à partir des six paramètres abiotiques et le niveau typologique biologique (noté B0 à B9) estimé à partir des communautés vivantes. L'écart entre un peuplement installé sur un point et celui que l'on devrait normalement y trouver renseigne sur l'intensité des dégradations du milieu. Dans la pratique, seuls les peuplements de poissons sont couramment utilisés pour la définition du niveau typologique biologique. On distingue deux niveaux typologiques théoriques : - le niveau typologique théorique originel c’est-à-dire le niveau typologique qui serait obtenu si la rivière n’avait subi aucune perturbation, - le niveau typologique théorique constaté qui prend en compte les influences anthropiques qui viendraient à modifier tout ou partie des six paramètres abiotiques de base (par exemple augmentation de la température ou de la dureté par rejets, augmentation de la section mouillée par création de biefs...). C’est ce dernier indice qui est pris en compte ici. Il est calculé à l’aide des six éléments suivants relevés au droit de la station : - température maximale moyenne du mois le plus chaud, - dureté totale, - section mouillée à l'étiage, - largeur moyenne du lit mineur, - pente de la ligne d'eau, - distance estimative aux sources. Les variations de cet indice en un point donné sont exceptionnelles et liées à des aménagements importants. Cependant, la connaissance du milieu pouvant s'améliorer par une plus grande précision des valeurs de l'un des six éléments composant l'indice, des ajustements sont susceptibles d'être opérés sur un point donné. Ces ajustements doivent être datés. Le calcul des niveaux typologiques théoriques constatés relève de la responsabilité du producteur de données.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NiveauTypologiqueTheoriqueConstate
NiveauTypologiqueTheoriqueConstate

Liste des propriétés:

Date, exprimée au jour près, à laquelle le niveau typologique a été recalculé ou à laquelle l'un des éléments servant à le calculer a été actualisé. La date du niveau typologique théorique ou de l'un des éléments servant à son calcul relève de la...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateEstimationNTTC
DateEstimationNTTC
Date, exprimée au jour près, à laquelle le niveau typologique a été recalculé ou à laquelle l'un des éléments servant à le calculer a été actualisé. La date du niveau typologique théorique ou de l'un des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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cct:DateType

Le niveau typologique théorique au droit de la station est l'un des codes de la liste ci-dessous établi à partir des six éléments suivants : - température maximale moyenne du mois le plus chaud, - dureté totale, - section mouillée à l'étiage, ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NiveauTTC
NiveauTTC
Le niveau typologique théorique au droit de la station est l'un des codes de la liste ci-dessous établi à partir des six éléments suivants : - température maximale moyenne du mois le plus chaud, - dureté totale, - section mouillée à l'étiage, - largeur moyenne du lit mineur, - pente de la ligne d'eau, - distance estimative aux sources. connus pour la station à une date donnée. Nomenclature : Niveau typologique théorique originel ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Inconnu ! Inconnu 1 ! T0 ! T0 2 ! T0 / T1 ! T0 / T1 3 ! T1 ! T1 4 ! T1 / T2 ! T1 / T2 5 ! T2 ! T2 6 ! T2 / T3 ! T2 / T3 7 ! T3 ! T3 8 ! T3 / T4 ! T3 / T4 9 ! T4 ! T4 10 ! T4 / T5 ! T4 / T5 11 ! T5 ! T5 12 ! T5 / T6 ! T5 / T6 13 ! T6 ! T6 14 ! T6 / T7 ! T6 / T7 15 ! T7 ! T7 16 ! T7 / T8 ! T7 / T8 17 ! T8 ! T8 18 ! T8 / T9 ! T8 / T9 19 ! T9 ! T9 ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature Le niveau typologique n'est pas mémorisé quand tous les éléments servant à le calculer sont connus. Le calcul du niveau typologique théorique ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La température maxi-moyenne de l'eau est la moyenne la plus élevée de 4 températures hebdomadaires consécutives. Elle est exprimée en degrés Celsius avec une précision de 0,1°C. Cet attribut rentre dans le calcul de l'indice théorique constaté au...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/TempMaxMoyMoisChaudNTTC
TempMaxMoyMoisChaudNTTC
La température maxi-moyenne de l'eau est la moyenne la plus élevée de 4 températures hebdomadaires consécutives. Elle est exprimée en degrés Celsius avec une précision de 0,1°C. Cet attribut rentre dans le calcul de l'indice théorique constaté au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La dureté totale est la somme des teneurs en calcium et magnésium de l'eau, utilisée dans le cadre du calcul de la biotypologie de Verneaux. Elle est exprimée en mg/l avec 5 chiffres significatifs au maximum. Cet attribut est principalement uti...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DureteTotaleNTTC
DureteTotaleNTTC
La dureté totale est la somme des teneurs en calcium et magnésium de l'eau, utilisée dans le cadre du calcul de la biotypologie de Verneaux. Elle est exprimée en mg/l avec 5 chiffres significatifs au maximum. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique constaté au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique constaté ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La section mouillée à l'étiage est la section moyenne du cours d'eau, perpendiculaire à son axe d'écoulement, limitée par le lit et la surface du cours d'eau et calculée pour la période des basses eaux. Cet attribut est principalement utilisé pou...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/SectionMouilleeEtiageNTTC
SectionMouilleeEtiageNTTC
La section mouillée à l'étiage est la section moyenne du cours d'eau, perpendiculaire à son axe d'écoulement, limitée par le lit et la surface du cours d'eau et calculée pour la période des basses eaux. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique constaté au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique constaté ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La largeur moyenne du lit mineur est la largeur moyenne du lit occupé par le cours d'eau pendant la période de basses eaux, estimée à une date donnée. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique c...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/LargeurMoyLitMineurNTTC
LargeurMoyLitMineurNTTC
La largeur moyenne du lit mineur est la largeur moyenne du lit occupé par le cours d'eau pendant la période de basses eaux, estimée à une date donnée. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique constaté au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique constaté ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La pente de la ligne d'eau est l'inclinaison dans l'axe du cours d'eau du miroir. Elle est exprimée en millième et relevée sur le tronçon du cours d'eau où se situe la station. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du nive...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PenteLigneEauNTTC
PenteLigneEauNTTC
La pente de la ligne d'eau est l'inclinaison dans l'axe du cours d'eau du miroir. Elle est exprimée en millième et relevée sur le tronçon du cours d'eau où se situe la station. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique constaté au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique constaté ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La distance aux sources estimative est la distance estimée en kilomètres entiers qui sépare la station de ou des sources de l'entité hydrographique sur laquelle elle se situe. Cette distance peut être supérieure à 1000 Km pour prendre en compte la...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DistanceEstimativeSourcesNTTC
DistanceEstimativeSourcesNTTC
La distance aux sources estimative est la distance estimée en kilomètres entiers qui sépare la station de ou des sources de l'entité hydrographique sur laquelle elle se situe. Cette distance peut être supérieure à 1000 Km pour prendre en compte la Loire. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique constaté au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique constaté ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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Interprétation du producteur de données sur le niveau typologique théorique constaté au droit de la station ou complément d'information sur l'un des éléments servant à le calculer. Les commentaires sur le niveau typologique théorique constaté rel...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ComNTTC
ComNTTC
Interprétation du producteur de données sur le niveau typologique théorique constaté au droit de la station ou complément d'information sur l'un des éléments servant à le calculer. Les commentaires sur le niveau typologique théorique constaté relève de la responsabilité du producteur de données.
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Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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NIVEAU TYPOLOGIQUE THEORIQUE ORIGINEL AU DROIT DE LA STATION

Le cortège des espèces floristiques et faunistiques d’un cours d’eau évolue naturellement de l’amont vers l’aval des cours d’eau sous l’influence des changements de certains paramètres abiotiques (c’est-à-dire non biologiques : minéralisation de l’eau, vitesse du courant, température de l’eau, etc...). Le niveau typologique s'inscrit dans un système de zonation amont-aval représentatif de ce phénomène et décrit pour la première fois par Verneaux (Verneaux, J. (1977) Biotypologie de l’écosystème « eau courante ». Déterminisme approché de la structure biotypologique, pp. 77-79, compte rendu de l’académie des sciences de Paris, Série D, Paris). Il s’affine actuellement avec la notion de région ichyo-géographique. A chaque niveau typologique correspond un édifice biologique théorique qui lui est propre. On distingue en premier lieu le niveau typologique théorique (noté T0 à T9) calculé à partir des six paramètres abiotiques et le niveau typologique biologique (noté B0 à B9) estimé à partir des communautés vivantes. L'écart entre un peuplement installé sur un point et celui que l'on devrait normalement y trouver renseigne sur l'intensité des dégradations du milieu. Dans la pratique, seuls les peuplements de poissons sont couramment utilisés pour la définition du niveau typologique biologique. On distingue deux niveaux typologiques théoriques : - le niveau typologique théorique constaté qui prend en compte les influences anthropiques qui viendraient à modifier tout ou partie des six paramètres abiotiques de base (par exemple augmentation de la température ou de la dureté par rejets, augmentation de la section mouillée par création de biefs...). - le niveau typologique théorique originel c’est-à-dire le niveau typologique qui serait obtenu si la rivière n’avait subi aucune perturbation, C’est ce dernier indice qui est pris en compte ici. Il est calculé à l’aide des six éléments suivants relevés au droit de la station : - température maximale moyenne du mois le plus chaud, - dureté totale, - section mouillée à l'étiage, - largeur moyenne du lit mineur, - pente de la ligne d'eau, - distance estimative aux sources. Cet indice est invariant en un point donné. Cependant, la connaissance du milieu pouvant s'améliorer par une plus grande précision des valeurs de l'un des six éléments composant l'indice, des ajustements sont susceptibles d'être opérés sur un point donné. Seul le dernier des ajustements sera conservé et daté. Le calcul des niveaux typologiques théoriques originels relève de la responsabilité du producteur de données.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NiveauTypologiqueTheoriqueOriginel
NiveauTypologiqueTheoriqueOriginel

Liste des propriétés:

Date, exprimée au jour près, à laquelle le niveau typologique a été recalculé ou à laquelle l'un des éléments servant à le calculer a été actualisé. La date du niveau typologique originel ou de l'un des éléments servant à son calcul relève de la ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateEstimationNTTO
DateEstimationNTTO
Date, exprimée au jour près, à laquelle le niveau typologique a été recalculé ou à laquelle l'un des éléments servant à le calculer a été actualisé. La date du niveau typologique originel ou de l'un des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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Le niveau typologique théorique originel au droit de la station est l'un des codes de la liste ci-dessous établi à partir des six éléments suivants : - température maximale moyenne du mois le plus chaud, - dureté totale, - section mouillée à l'...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NiveauNTTO
NiveauNTTO
Le niveau typologique théorique originel au droit de la station est l'un des codes de la liste ci-dessous établi à partir des six éléments suivants : - température maximale moyenne du mois le plus chaud, - dureté totale, - section mouillée à l'étiage, - largeur moyenne du lit mineur, - pente de la ligne d'eau, - distance estimative aux sources. connus pour la station à une date donnée. Nomenclature : Niveau typologique théorique originel ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Inconnu ! Inconnu 1 ! T0 ! T0 2 ! T0 / T1 ! T0 / T1 3 ! T1 ! T1 4 ! T1 / T2 ! T1 / T2 5 ! T2 ! T2 6 ! T2 / T3 ! T2 / T3 7 ! T3 ! T3 8 ! T3 / T4 ! T3 / T4 9 ! T4 ! T4 10 ! T4 / T5 ! T4 / T5 11 ! T5 ! T5 12 ! T5 / T6 ! T5 / T6 13 ! T6 ! T6 14 ! T6 / T7 ! T6 / T7 15 ! T7 ! T7 16 ! T7 / T8 ! T7 / T8 17 ! T8 ! T8 18 ! T8 / T9 ! T8 / T9 19 ! T9 ! T9 ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature Le niveau typologique n'est pas mémorisé quand tous les éléments servant à le calculer sont connus. Le calcul du niveau typologique théorique originel ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La température maxi-moyenne de l'eau est la moyenne la plus élevée de 4 températures hebdomadaires consécutives. Elle est exprimée en degrés Celsius avec une précision de 0,1°C. Cet attribut rentre dans le calcul de l'indice théorique originel au...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/TempMaxMoyMoisChaudNTTO
TempMaxMoyMoisChaudNTTO
La température maxi-moyenne de l'eau est la moyenne la plus élevée de 4 températures hebdomadaires consécutives. Elle est exprimée en degrés Celsius avec une précision de 0,1°C. Cet attribut rentre dans le calcul de l'indice théorique originel au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La dureté totale est la somme des teneurs en calcium et magnésium de l'eau, utilisée dans le cadre du calcul de la biotypologie de Verneaux. Elle est exprimée en mg/l avec 5 chiffres significatifs au maximum. Cet attribut est principalement uti...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DureteTotaleNTTO
DureteTotaleNTTO
La dureté totale est la somme des teneurs en calcium et magnésium de l'eau, utilisée dans le cadre du calcul de la biotypologie de Verneaux. Elle est exprimée en mg/l avec 5 chiffres significatifs au maximum. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique originel au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique originel ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La section mouillée à l'étiage est la section moyenne du cours d'eau, perpendiculaire à son axe d'écoulement, limitée par le lit et la surface du cours d'eau et calculée pour la période des basses eaux. Cet attribut est principalement utilisé pou...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/SectionMouilleeEtiageNTTO
SectionMouilleeEtiageNTTO
La section mouillée à l'étiage est la section moyenne du cours d'eau, perpendiculaire à son axe d'écoulement, limitée par le lit et la surface du cours d'eau et calculée pour la période des basses eaux. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique originel au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique originel ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La largeur moyenne du lit mineur est la largeur moyenne du lit occupé par le cours d'eau pendant la période de basses eaux, estimée à une date donnée. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique o...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/LargeurMoyLitMineurNTTO
LargeurMoyLitMineurNTTO
La largeur moyenne du lit mineur est la largeur moyenne du lit occupé par le cours d'eau pendant la période de basses eaux, estimée à une date donnée. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique originel au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique originel ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La pente de la ligne d'eau est l'inclinaison dans l'axe du cours d'eau du miroir. Elle est exprimée en millième et relevé ou estimé pour le tronçon du cours d'eau où se situe la station. Cet attribut est principalement utilisé pour la déterminati...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PenteLigneEauNTTO
PenteLigneEauNTTO
La pente de la ligne d'eau est l'inclinaison dans l'axe du cours d'eau du miroir. Elle est exprimée en millième et relevé ou estimé pour le tronçon du cours d'eau où se situe la station. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique originel au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique originel ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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La distance aux sources estimative est la distance estimée en kilomètres entiers qui sépare la station de ou des sources de l'entité hydrographique sur laquelle elle se situe. Cette distance peut être supérieure à 1000 Km pour prendre en compte la...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DistanceEstimativeSourcesNTTO
DistanceEstimativeSourcesNTTO
La distance aux sources estimative est la distance estimée en kilomètres entiers qui sépare la station de ou des sources de l'entité hydrographique sur laquelle elle se situe. Cette distance peut être supérieure à 1000 Km pour prendre en compte la Loire. Cet attribut est principalement utilisé pour la détermination du niveau typologique théorique originel au droit de la station. Le calcul du niveau typologique théorique originel ou la détermination des éléments servant à son calcul relève de la responsabilité du producteur de données.
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Interprétation du producteur de données sur le niveau typologique théorique originel au droit de la station ou complément d'information sur l'un des éléments servant à le calculer. Les commentaires sur le niveau typologique théorique originel rel...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ComNTTO
ComNTTO
Interprétation du producteur de données sur le niveau typologique théorique originel au droit de la station ou complément d'information sur l'un des éléments servant à le calculer. Les commentaires sur le niveau typologique théorique originel relève de la responsabilité du producteur de données.
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Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Périodicité des analyses effectuées sur le point de prélèvement

La fréquence des analyses effectuées sur la station est indiquée pour les paramètres mesurés par un appareillage automatique (capteurs, centrale d'acquisition, ...). Une seule fréquence ne peut être indiquée par paramètre pour une station donnée. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PeriodiciteAnalyses
PeriodiciteAnalyses

Liste des propriétés:

La fréquence des analyses effectuées sur la station est indiquée pour les paramètres mesurés par un appareillage automatique (capteurs, centrale d'acquisition, ...). La fréquence sera indiquée sur la base de la période théorique entre deux mesure...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PeriodiciteTheoriqueAnalyses
PeriodiciteTheoriqueAnalyses
La fréquence des analyses effectuées sur la station est indiquée pour les paramètres mesurés par un appareillage automatique (capteurs, centrale d'acquisition, ...). La fréquence sera indiquée sur la base de la période théorique entre deux mesures fournie dans le format suivant : AAAA/MM/JJ HH:NN:SS où : AAAA = durée en années MM = durée en mois JJ = durée en jours HH = durée en heures NN = durée en minutes SS = durée en secondes Par exemple, il sera fourni '0000/00/00 00:00:20' pour une sonde qui effectue une mesure toutes les vingt secondes. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La date d'actualisation de la périodicité théorique des analyses est la date, exprimée au jour près, à laquelle la périodicité théorique avec laquelle le paramètre est mesuré sur le point de prélèvement, est modifiée. Cet attribut ne peut être ut...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateActualisation
DateActualisation
La date d'actualisation de la périodicité théorique des analyses est la date, exprimée au jour près, à laquelle la périodicité théorique avec laquelle le paramètre est mesuré sur le point de prélèvement, est modifiée. Cet attribut ne peut être utilisé pour mémoriser l'historique des modifications des périodicités. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Liste des associations:

Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfon...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PointPrelEauxSurf
PointPrelEauxSurf
Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Relations externe:

Un paramètre est une propriété du milieu ou d'une partie du milieu qui contribue à en apprécier les caractéristiques et/ou la qualité et/ou l'aptitude à des usages. L'analyse de l'existant a montré que l'objet paramètre possède deux catégories de...

http://id.eaufrance.fr/ddd/PAR/1/Parametre
Parametre
Un paramètre est une propriété du milieu ou d'une partie du milieu qui contribue à en apprécier les caractéristiques et/ou la qualité et/ou l'aptitude à des usages. L'analyse de l'existant a montré que l'objet paramètre possède deux catégories de propriétés : - celles qui sont communes à tous les types de paramètres, - celles spécifiques à certains types de paramètres. Il en est de même pour les relations entre les paramètres et les autres objets. Cet état de fait a conduit à employer une modélisation faisant intervenir des objets génériques et des objets sous-types qui ne contiennent que des propriétés spécifiques à ce sous-type. L'objet générique de la notion de paramètre est PARAMETRE. Il contient les propriétés communes à tous les types de paramètres. Le paramètre se décline d'une part en deux types : quantitatif et qualitatif, et d'autre part en cinq natures : physique, chimique, environnemental, microbiologique et hydrobiologique. Le sous-type quantitatif se rapporte aux paramètres qui ont une infinité de résultats. Le sous-type qualitatif se rapporte aux paramètres qui ne prennent qu'un nombre limité de valeurs pré-définies pour chacun d'eux. Ces deux sous-types sont mutuellement exclusifs. Le sous-type environnemental recouvre : - tous les paramètres physiques et chimiques qui ne se mesurent pas dans l'eau de la rivière (température de l'air, largeur du cours d'eau...), - tous les paramètres d'observation liés à la rivière et à son environnement (Importance de l'ombrage sur les berges...). Le sous-type physique se rapporte aux paramètres dont l'objet est la mesure d'une caractéristique physique de l'eau (température de l'eau, conductivité...). Le sous-type chimique se rapporte aux paramètres dont la mesure a pour objet une grandeur chimique (concentration d'une substance, Demande Biologique en Oxygène, ...). Le sous-type hydrobiologique se rapporte aux paramètres dont l'expression décrit l'état ou la présence des êtres macroscopiques vivant dans l'eau. Le sous-type microbiologique se rapporte aux paramètres qui ont pour objet la recherche, la détermination et/ou le dénombrement d'êtres microscopiques présents dans l'eau. Cette catégorie de paramètres est également étendue par convention à l'étude d'êtres vivants assimilés à des êtres microscopiques comme les parasites, les mousses ou champignons. Ces 5 derniers sous-types sont mutuellement exclusifs. Tout organisme peut demander la codification d'un nouveau paramètre. Pour cela, il suffit d'en faire la demande auprès du SANDRE qui procédera en deux étapes pour assurer un service rapide tout en gardant une liste homogène. - Afin de permettre une utilisation immédiate du paramètre, un numéro provisoire sera émis après qu'un contrôle sémantique ait montré la non existence de ce paramètre. - Puis, sur une base trimestrielle, toutes les demandes de paramètres sont soumises à un comité d'experts qui statuera sur la nécessité de créer ou non le paramètre. Si la création est acceptée, le paramètre est déclaré validé. Dans le cas inverse, le comité désignera le paramètre déjà existant correspondant à celui demandé. Le code provisoire attribué est alors gelé indéfiniment. Tous les paramètres sont décrits par un nom complet, ainsi que par des libellés longs et courts pour une exploitation informatique. Cette information est complétée quelquefois par la mention de synonymes ou de polysèmes qui indiquent les différentes appellations du paramètre et celles avec lesquelles il ne faut pas le confondre. Toutes les fiches paramètres, quel que soit leur statut, peuvent faire l'objet de révisions. La liste des paramètres est administrée par le SANDRE qui en a la responsabilité.
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POINT DE POSE (POISSONS)

Le point de pose désigne le lieu exact où les investigations sont effectuées, au sein de la station (plan d’eau). Dans le cadre des poissons, le point de pose est défini pour chaque campagne de pêche (à la différence des points de prélèvements physico-chimiques). Il peut y avoir plusieurs points de pose sur un plan d’eau, correspondant à plusieurs points d’investigation et donc à une pose. Du point de vue de la modélisation, le point de pose (poissons) est une spécialisation du point de prélèvement d'un plan d'eau.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PointPose
PointPose

Cette entité hérite de POINT DE PRELEVEMENT

Liste des propriétés:

Profondeur exprimée en mètres à laquelle les filets sont posés au minimum au sein du point de pose.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ProfMinPointPose
ProfMinPointPose
Profondeur exprimée en mètres à laquelle les filets sont posés au minimum au sein du point de pose.
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cct:NumericType

Profondeur exprimée en mètres à laquelle les filets sont posés au maximum au sein du point de pose.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ProfMaxPointPose
ProfMaxPointPose
Profondeur exprimée en mètres à laquelle les filets sont posés au maximum au sein du point de pose.
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cct:NumericType

POINT DE PRELEVEMENT

Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PointPrelEauxSurf
PointPrelEauxSurf

Cette entité hérite de POINT DE CONTROLE

Liste des propriétés:

Le code du point de prélèvement est un identifiant artificiel sur trois chiffres, non signifiant et partiel, associé à chaque point au sein d'une même station. L'identifiant complet d'un point de prélèvement est la concaténation de ce code avec ce...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CdPointEauxSurf
CdPointEauxSurf
Le code du point de prélèvement est un identifiant artificiel sur trois chiffres, non signifiant et partiel, associé à chaque point au sein d'une même station. L'identifiant complet d'un point de prélèvement est la concaténation de ce code avec celui de la station. L'attribution de ce code relève des Agences de l'Eau.
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Les recommandations sur le lieu de prélèvement rassemblent les directives qui définissent le lieu de prélèvement où devra être fait, dans la mesure du possible, l'ensemble des prélèvements. Si les recommandations ne peuvent être suivies, le préle...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/RecLieuPrelevement
RecLieuPrelevement
Les recommandations sur le lieu de prélèvement rassemblent les directives qui définissent le lieu de prélèvement où devra être fait, dans la mesure du possible, l'ensemble des prélèvements. Si les recommandations ne peuvent être suivies, le préleveur devra indiquer dans les commentaires sur le prélèvement, l'endroit où ce dernier a été effectué. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:TextType

La date de mise en service du point de prélèvement est la date donnée au jour près, à laquelle le point de prélèvement a été créé. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ou...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateMiseServicePointEauxSurf
DateMiseServicePointEauxSurf
La date de mise en service du point de prélèvement est la date donnée au jour près, à laquelle le point de prélèvement a été créé. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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La date de mise hors service du point de prélèvement est la date donnée au jour près, à laquelle le point de prélèvement n'a plus été utilisé. Cette date correspond à la date d'arrêt d'activité de la station, ou bien à la date à laquelle le point ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateMiseHorServicePointEauxSurf
DateMiseHorServicePointEauxSurf
La date de mise hors service du point de prélèvement est la date donnée au jour près, à laquelle le point de prélèvement n'a plus été utilisé. Cette date correspond à la date d'arrêt d'activité de la station, ou bien à la date à laquelle le point ne remplit plus ses fonctions à cause d'événements intervenus sur le tronçon du cours d'eau où se situe la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:DateType

La coordonnée X principale du point de prélèvement est la coordonnée X dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordXPointEauxSurf
CoordXPointEauxSurf
La coordonnée X principale du point de prélèvement est la coordonnée X dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 0 à 1 250 000. Pour les points de prélèvement situés en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée X de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et prend une valeur dans une plage variant au maximum de 0 à + 833 000 au niveau de l'équateur. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 1/50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Lorsque le point de prélèvement s'étend sur une portion du cours d'eau, les coordonnées X,Y des limites amont et aval du point de prélèvement peuvent être renseignées (voir attributs spécifiques pour cela). Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:NumericType

La coordonnée Y principale du point de prélèvement est la coordonnée Y dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), c...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordYPointEauxSurf
CoordYPointEauxSurf
La coordonnée Y principale du point de prélèvement est la coordonnée Y dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement dans le milieu situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 6 000 000 à 7 100 000. Pour les autres points de prélèvement situés en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée Y de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage allant de - 10 000 000 (pour le pôle Sud) à + 10 000 000 (pour le pôle Nord). Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Lorsque le point de prélèvement s'étend sur une portion du cours d'eau, les coordonnées X,Y des limites amont et aval du point de prélèvement peuvent être renseignées (voir attributs spécifiques pour cela). Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:NumericType

La profondeur recommandée pour le point de prélèvement est la distance perpendiculaire au miroir, à laquelle se situe la zone où il est recommandé d'effectuer le prélèvement dans la mesure du possible. Cette distance est positive, exprimée en mètr...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ProfondeurRecommandePrlvt
ProfondeurRecommandePrlvt
La profondeur recommandée pour le point de prélèvement est la distance perpendiculaire au miroir, à laquelle se situe la zone où il est recommandé d'effectuer le prélèvement dans la mesure du possible. Cette distance est positive, exprimée en mètres avec la précision du centimètre et peut dépasser la dizaine de mètres. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:NumericType

Les commentaires rassemblent des informations générales sur le point de prélèvement, comme les raisons qui ont amené à sa création. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'o...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ComPointEauxSurf
ComPointEauxSurf
Les commentaires rassemblent des informations générales sur le point de prélèvement, comme les raisons qui ont amené à sa création. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:TextType

Le mode d'obtention définit, à l'aide des codes ci-dessous administrés par le SANDRE, les modalités d'acquisition des coordonnée du point de prélèvement . Nomenclature : Mode d'obtention des coordonnées de l'ouvrage de dépollution / CXN / 2001 -...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ModeObtentionPointEauxSurf
ModeObtentionPointEauxSurf
Le mode d'obtention définit, à l'aide des codes ci-dessous administrés par le SANDRE, les modalités d'acquisition des coordonnée du point de prélèvement . Nomenclature : Mode d'obtention des coordonnées de l'ouvrage de dépollution / CXN / 2001 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Inconnu ! Mode d'obtention inconnu 1 ! Relevées ! Coordonnées relevées (précision le millimètre) 2 ! Mesurées ! Coordonnées mesurées (précision le mètre) 3 ! Etablies ! Coordonnées établies (précision le décamètre) 4 ! Estimées ! Coordonnées estimées (précision le kilomètre) ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:CodeType
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Longueur totale du point de prélèvement, exprimée en mètres. Cette information est demandée dans le cadre du protocole de prélèvement des invertébrés sur le Réseau de Contrôle de Surveillance.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/LgTotPointEauxSurf
LgTotPointEauxSurf
Longueur totale du point de prélèvement, exprimée en mètres. Cette information est demandée dans le cadre du protocole de prélèvement des invertébrés sur le Réseau de Contrôle de Surveillance.
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cct:NumericType

Coordonnée X de la limite amont du point de prélèvement Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement situés sur le territoire métropolitain et ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordXAmontPointEauxSurf
CoordXAmontPointEauxSurf
Coordonnée X de la limite amont du point de prélèvement Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 0 à 1 250 000. Pour les points de prélèvement situés en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée X de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et prend une valeur dans une plage variant au maximum de 0 à + 833 000 au niveau de l'équateur. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 1/50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:NumericType

Coordonnée Y de la limite amont du point de prélèvement Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement situés sur le territoire métropolitain et ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordYAmontPointEauxSurf
CoordYAmontPointEauxSurf
Coordonnée Y de la limite amont du point de prélèvement Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 0 à 1 250 000. Pour les points de prélèvement situés en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée X de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et prend une valeur dans une plage variant au maximum de 0 à + 833 000 au niveau de l'équateur. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 1/50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Coordonnée X de la limite aval du point de prélèvement Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement situés sur le territoire métropolitain et c...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordXAvalPointEauxSurf
CoordXAvalPointEauxSurf
Coordonnée X de la limite aval du point de prélèvement Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 0 à 1 250 000. Pour les points de prélèvement situés en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée X de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et prend une valeur dans une plage variant au maximum de 0 à + 833 000 au niveau de l'équateur. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 1/50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:NumericType

Coordonnée Y de la limite aval du point de prélèvement Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement situés sur le territoire métropolitain et c...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordYAvalPointEauxSurf
CoordYAvalPointEauxSurf
Coordonnée Y de la limite aval du point de prélèvement Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les points de prélèvement situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 0 à 1 250 000. Pour les points de prélèvement situés en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée X de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE. Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et prend une valeur dans une plage variant au maximum de 0 à + 833 000 au niveau de l'équateur. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 1/50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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cct:NumericType

La largeur du lit à plein bord (notée Lpb), exprimée en mètre, est une grandeur de calage en géométrie hydraulique qui permet de prévoir statistiquement la longueur moyenne des séquences de faciès. En première approximation, cette largeur peut êtr...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/LargeurDebitPleinBord
LargeurDebitPleinBord
La largeur du lit à plein bord (notée Lpb), exprimée en mètre, est une grandeur de calage en géométrie hydraulique qui permet de prévoir statistiquement la longueur moyenne des séquences de faciès. En première approximation, cette largeur peut être estimée rapidement sur le terrain à partir de la zone non végétalisée du lit. La longueur d’une séquence radier / mouille représente en moyenne 6 fois la largeur du lit à plein bord.
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cct:NumericType

Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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La fréquence des analyses effectuées sur la station est indiquée pour les paramètres mesurés par un appareillage automatique (capteurs, centrale d'acquisition, ...). Une seule fréquence ne peut être indiquée par paramètre pour une station donnée....

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PeriodiciteAnalyses
PeriodiciteAnalyses
La fréquence des analyses effectuées sur la station est indiquée pour les paramètres mesurés par un appareillage automatique (capteurs, centrale d'acquisition, ...). Une seule fréquence ne peut être indiquée par paramètre pour une station donnée. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La notion de transect est utilisée uniquement dans la méthodologie d’étude des communautés de macrophytes en plans d’eau (Novembre 2007, CEMAGREF) Un transect est une ligne le long du plan d’eau (secteur de rive) ou bien perpendiculaire à la rive,...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/Transect
Transect
La notion de transect est utilisée uniquement dans la méthodologie d’étude des communautés de macrophytes en plans d’eau (Novembre 2007, CEMAGREF) Un transect est une ligne le long du plan d’eau (secteur de rive) ou bien perpendiculaire à la rive, sur laquelle sont réalisés des relevés floristiques. ATTENTION, un transect en plan d’eau, tout comme une unité d’observation, ne constitue pas un POINT DE PRELEVEMENT en plan d’eau. Conformément à la méthodologie d’étude des communautés de macrophytes en plans d’eau, un POINT DE PRELEVEMENT macrophytes en plan d’eau correspond à l’ensemble des 12 à 32 transects identifiés au sein d’un même plan d’eau, sur lesquels des relevés floristiques sont établis au cours d’une opération de prélèvement biologique, contribuant à la détermination d’un résultat d’indice macrophytique (en cours de définition) à l’échelle du plan d’eau. Un prélèvement élémentaire correspond à un relevé floristique effectué : · Soit sur un transect longitudinal (zone littorale) · Soit sur un point contact d’un transect transversal (profil perpendiculaire à la rive), la profondeur de chaque point contact étant à renseigner au niveau de l’attribut « Profondeur du prélèvement » Chaque relevé floristique donne lieu à une seule liste floristique. Ce sont les résultats de l’ensemble de ces listes floristiques qui permettent de déterminer le résultat d’indice macrophytique (en cours de définition), à l’issue d’une opération de prélèvement. »
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Une station de mesure, et plus particulièrement ses points de prélèvement sont généralement créés à la suite de la mise en place d'un réseau de mesure. Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'obje...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/AppartenanceReseauMesure
AppartenanceReseauMesure
Une station de mesure, et plus particulièrement ses points de prélèvement sont généralement créés à la suite de la mise en place d'un réseau de mesure. Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la période d'appartenance sera précisée. Lorsque le point de prélèvement n'est pas connu ou n'existe pas, il est indiqué "Sans objet", c'est à dire "XXX". Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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L'historique des gestionnaires de l'équipement du point de prélèvement précise la liste des intervenants qui ont par le passé, ou bien actuellement, assuré la fonction de gestionnaire de l'équipement du point de prélèvement pour une période donnée...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/HistGestionnaireEquipement
HistGestionnaireEquipement
L'historique des gestionnaires de l'équipement du point de prélèvement précise la liste des intervenants qui ont par le passé, ou bien actuellement, assuré la fonction de gestionnaire de l'équipement du point de prélèvement pour une période donnée. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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L'historique des propriétaires de l'équipement du point de prélèvement précise la liste des intervenants qui ont par le passé, ou bien actuellement, assuré la fonction de propriétaire de l'équipement du point de prélèvement pour une période donnée...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/HistProprietaireEquipement
HistProprietaireEquipement
L'historique des propriétaires de l'équipement du point de prélèvement précise la liste des intervenants qui ont par le passé, ou bien actuellement, assuré la fonction de propriétaire de l'équipement du point de prélèvement pour une période donnée. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Relations externe:

Le support est un composant du milieu sur lequel porte l'investigation. Les supports sont, par exemple, de l'eau brute, des sédiments, des mousses aquatiques... Par exemple, il s'agit : - l'eau - des poissons, - des diatomées, - des mollusque...

http://id.eaufrance.fr/ddd/PAR/1/Support
Support
Le support est un composant du milieu sur lequel porte l'investigation. Les supports sont, par exemple, de l'eau brute, des sédiments, des mousses aquatiques... Par exemple, il s'agit : - l'eau - des poissons, - des diatomées, - des mollusques, - des invertébrés benthiques, - ... Le support ne correspond pas au support réellement analysé puisque généralement il s’agit d’une fraction du support qui est analysée (par exemple, pour le poisson, le foie,… ou pour l’eau, l’eau filtrée). La notion de fraction analysée doit être utilisée en priorité. La liste des supports est administrée par le SANDRE qui en a la responsabilité.
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Cette entité est héritée par :

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PERIODE DE RATTACHEMENT DE LA STATION DE MESURE QUALITE A UN SITE HYDROMETRIQUE

Une ou plusieurs stations de mesure de la qualité peuvent être rattachées à un ou plusieurs sites hydrométriques afin d'estimer le débit au droit de celles-ci. Le rattachement d'une station de mesure de la qualité à un ou plusieurs sites hydrométriques n'est pas définitif mais seulement pour une période déterminée car l'évolution des réseaux de mesure hydrométriques amène parfois à modifier le rattachement. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/RattachementSiteHydro
RattachementSiteHydro

Liste des propriétés:

La date du début de la période du rattachement d'une station de mesure à un site hydrométrique est la date à laquelle les données obtenues sur un site hydrométrique commencent à être utilisées pour déterminer les conditions hydrologiques au droit ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateDebutRattachementSiteHydro
DateDebutRattachementSiteHydro
La date du début de la période du rattachement d'une station de mesure à un site hydrométrique est la date à laquelle les données obtenues sur un site hydrométrique commencent à être utilisées pour déterminer les conditions hydrologiques au droit de la station de mesure qualité. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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cct:DateType

La date de la fin de la période du rattachement d'une station de mesure à un site hydrométrique est la date à laquelle finit l'utilisation des données obtenues sur un site hydrométrique pour déterminer les conditions hydrologiques au droit de la s...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateFinRattachementSiteHydro
DateFinRattachementSiteHydro
La date de la fin de la période du rattachement d'une station de mesure à un site hydrométrique est la date à laquelle finit l'utilisation des données obtenues sur un site hydrométrique pour déterminer les conditions hydrologiques au droit de la station de mesure qualité. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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cct:DateType

Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Lieu géographique (tronçon de cours d'eau) sur lequel les mesures de débit sont réputées homogènes et comparables entre elles. Néanmoins, pour une exploitation cartographique, le site hydrométrique est généralement ramené à un point, dit point car...

http://id.eaufrance.fr/ddd/HYD/2.0/SiteHydro
SiteHydro
Lieu géographique (tronçon de cours d'eau) sur lequel les mesures de débit sont réputées homogènes et comparables entre elles. Néanmoins, pour une exploitation cartographique, le site hydrométrique est généralement ramené à un point, dit point caractéristique du site hydrométrique. Un site peut posséder une ou plusieurs stations (de type échelle limnimétrique le plus souvent) et il ne peut porter que des données de débit. Attention : la Station de mesure hydrométrique dans la version actuelle de la banque HYDRO (version 2) est une notion intermédiaire entre les sites hydro et les station hydro au sens du présent dictionnaire. Le site hydrométrique est identifié par un code unique au niveau national construit selon la règle suivante : [Code de la zone hydrographique sur 4 caractères sur laquelle est située le site hydrométrique ] + [Numéro incrémental sans signification particulière sur 4 caractères]. Par exemple, J4310010 pour un site localisé sur la zone hydrologique J431.
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STATION DE MESURE DE LA QUALITE DES EAUX DE SURFACE

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface

Cette entité hérite de SITE D'EVALUATION

Liste des propriétés:

Le mode d'attribution du code de toute station de mesure de la qualité des eaux superficielles continentales varie selon le rattachement de cette station à un cours d'eau ou un plan d'eau. Dans le cadre du suivi de la qualité des cours d'eau, le ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CdStationMesureEauxSurface
CdStationMesureEauxSurface
Le mode d'attribution du code de toute station de mesure de la qualité des eaux superficielles continentales varie selon le rattachement de cette station à un cours d'eau ou un plan d'eau. Dans le cadre du suivi de la qualité des cours d'eau, le code de la station de mesure est un numéro systématiquement sur 8 chiffres, attribué par les Agences de l'Eau pour toutes les stations de mesure de la qualité des eaux situées sur leur bassin. Ce code est composé du code du bassin sur les deux premières positions et du code attribué par les Agences de l'Eau sur les six dernières positions. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau, puisque la station de mesure sur un plan d'eau correspond TOUJOURS à un plan d'eau, le code de la station DOIT être le code générique de l'entité hydrographique (plan d'eau).
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Le libellé national, qui est un champ de 60 caractères, a pour vocation de servir de titre ou de nom à une station de mesure. Elle vient en complément des noms qui existent déjà mais qui n’ont fait l’objet d’aucune normalisation (attribut "Nom de ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/LbStationMesureEauxSurface
LbStationMesureEauxSurface
Le libellé national, qui est un champ de 60 caractères, a pour vocation de servir de titre ou de nom à une station de mesure. Elle vient en complément des noms qui existent déjà mais qui n’ont fait l’objet d’aucune normalisation (attribut "Nom de la station de mesure"). Principe de rédaction de la localisation globale : Nom du cours d’eau (avec l’article) + Emplacement Tous les noms propres seront en minuscules avec leur initiale en majuscule. Le nom du cours d’eau sera celui au droit de la station. Les emplacements sont constitués de deux parties : une référence avec des mots de liaison. Les références sont : - un nom de commune ; - un nom d’affluent ; - un nom de bassin versant ; - ou un nom d’ouvrage ; et les mots de liaison sont constitués de : - à ; - entre ; - à l’amont ; - à l’aval ; - avant/après sa confluence avec ; - avant/après la confluence de ; - à l’exutoire ; - etc. Exemple : - La Vilaine à Guipry ; - La Loire entre Le Puy et Grangent ; - La Loire à l’amont d’Orléans ; - La Loire à l’aval de Blois ; - La Creuse avant sa confluence. Cet attribut était anciennement nommé "Localisation globale de la station de mesure". Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Le nom de la station de mesure est permet de stocker un libellé libre de la station de mesure, généralement celui employé par le producteur local de données. Il est retenu que le libellé national de la station de mesure est géré par l'attribut " L...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NomStationMesureEauxSurface
NomStationMesureEauxSurface
Le nom de la station de mesure est permet de stocker un libellé libre de la station de mesure, généralement celui employé par le producteur local de données. Il est retenu que le libellé national de la station de mesure est géré par l'attribut " Libellé national de la station de mesure " avec des règles de rédaction définies. Le nom de la station de mesure est réservé à gérer les anciens noms ou noms d'usages de la station de mesure. Exemple : - Station 1 du pont St Martin,…[…] " Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La finalité de la station constitue le but pour lequel la station de mesure a été créée. C'est un champ de 70 caractères qui peut prendre une des valeurs suivantes : - Référence - Evaluation, - Bilan, - Impact d'un rejet industriel - Impact ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/FinaliteStationMesureEauxSurface
FinaliteStationMesureEauxSurface
La finalité de la station constitue le but pour lequel la station de mesure a été créée. C'est un champ de 70 caractères qui peut prendre une des valeurs suivantes : - Référence - Evaluation, - Bilan, - Impact d'un rejet industriel - Impact d'un rejet domestique - Impact d'un rejet élevage - Impact d'un rejet Autre - Suivi d'aptitude d'un usage AEP - Suivi d'aptitude d'un usage Aquaculture - Suivi d'aptitude d'un usage Baignadee - Suivi d'aptitude d'un usage Autre - autre (à préciser...). Les finalités d'une station de mesure ne sont pas systématiquement identiques à celles du ou des réseaux de mesure auxquels elle se rattache. La finalité d'une station peut évoluer dans le temps en intégrant de nouveaux besoins. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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La localisation fine, qui est un champ de 80 caractères, est destinée à permettre une localisation précise de la station tout en ne détaillant pas les points de prélèvements qui sont décrits, le cas échéant, à l’aide des recommandations sur les li...

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LocPreciseStationMesureEauxSurface
La localisation fine, qui est un champ de 80 caractères, est destinée à permettre une localisation précise de la station tout en ne détaillant pas les points de prélèvements qui sont décrits, le cas échéant, à l’aide des recommandations sur les lieux de prélèvement. Principe de rédaction de la localisation précise : Le nombre important de cas de figures ne permet pas d’arrêter des règles précises pour la rédaction de la localisation fine. C’est au gestionnaire de la station d’indiquer au mieux et de façon concise, l’endroit exact où se situe la station en fonction des repères existants sur le terrain. Il peut se servir des noms de route (RN xx; D yy, etc...), des ouvrages présents sur le cours d’eau (pont, barrage, etc...) ou sur les berges (moulins, bâtiments, etc...), ou bien encore de tout repère naturel (chutes, affluents, rochers...). Exemple : - Pont de Condat - aval de Limoges ; - Station de pompage - amont de VICHY ; - etc... Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Pour une meilleure localisation, chaque station de mesure est située sur une carte à une échelle pertinente qui sera précisée station par station. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CarteLocStationMesureEauxSurface
CarteLocStationMesureEauxSurface
Pour une meilleure localisation, chaque station de mesure est située sur une carte à une échelle pertinente qui sera précisée station par station. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Le schéma de localisation est un plan simplifié de la station qui doit permettre au préleveur d'identifier et de retrouver les différents points de prélèvements sur les lieux de la station. Cette information facultative vient en complément des te...

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SchemaLocStationMesureEauxSurface
Le schéma de localisation est un plan simplifié de la station qui doit permettre au préleveur d'identifier et de retrouver les différents points de prélèvements sur les lieux de la station. Cette information facultative vient en complément des textes localisant les points de prélèvements. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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La coordonnée X du point caractéristique de la station de mesure est la coordonnée X de la station de mesure dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection". Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 dé...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordXStationMesureEauxSurface
CoordXStationMesureEauxSurface
La coordonnée X du point caractéristique de la station de mesure est la coordonnée X de la station de mesure dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection". Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les sites situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 0 à 1 250 000. Pour les stations de mesure situées en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée X de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection". Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et prend une valeur comprise dans une plage variant au maximum de 0 à +833 000 au niveau de l'équateur. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 1/50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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La coordonnée Y du point caractéristique de la station de mesure est la coordonnée Y de la station de mesure dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection". Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 dé...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordYStationMesureEauxSurface
CoordYStationMesureEauxSurface
La coordonnée Y du point caractéristique de la station de mesure est la coordonnée Y de la station de mesure dans la projection indiquée dans l'attribut "Type de projection". Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), celle-ci est en Lambert 93 pour tous les sites dans le milieu situés sur le territoire métropolitain et corse. Elle est exprimée avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage de 6 000 000 à 7 100 000. Pour les stations de mesure situées en dehors de la France métropolitaine, cet attribut contient la coordonnée Y de la projection U.T.M. précisée dans l'attribut "Type de projection". Il est également exprimé avec la précision maximale du mètre et varie dans une plage allant de - 10 000 000 (pour le pôle Sud) à + 10 000 000 (pour le pôle Nord). Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle a une précision au moins égale au 1/50.000ème en cohérence avec le référentiel BD-Carthage. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Cet attribut est un code à deux positions qui indique la projection dans laquelle s'expriment les coordonnées de la station de mesure. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle est supérieure ou égale au 50 000e. Selon...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ProjStationMesureEauxSurface
ProjStationMesureEauxSurface
Cet attribut est un code à deux positions qui indique la projection dans laquelle s'expriment les coordonnées de la station de mesure. Les coordonnées devront être déterminées sur une carte dont l'échelle est supérieure ou égale au 50 000e. Selon la loi d'aménagement du territoire (Décret no 2000-1276 du 26 décembre 2000), toutes les coordonnées seront en Lambert 93, exceptées ceux situés en dehors du territoire métropolitain et corse. La liste des codes possibles pour cet attribut est la suivante, totalement compatible avec la norme EDIGéO : Nomenclature : Projection des coordonnées / PEZ / 2000 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Projection inconnue ! Projection inconnue 1 ! Lambert I Nord ! Lambert I Nord 2 ! Lambert II Centre ! Lambert II Centre 3 ! Lambert III Sud ! Lambert III Sud 4 ! Lambert IV Corse ! Lambert IV Corse 5 ! Lambert II Etendu ! Lambert II Etendu 6 ! Lambert I Carto ! Lambert I Carto 7 ! Lambert II Carto ! Lambert II Carto 8 ! Lambert III Carto ! Lambert III Carto 9 ! Lambert IV Carto ! Lambert IV Carto 10 ! ED50 UTM30 ! ED50 UTM30 11 ! ED50 UTM31 ! ED50 UTM31 12 ! ED50 UTM32 ! ED50 UTM32 13 ! WGS72 UTM30 ! WGS72 UTM30 14 ! WGS72 UTM31 ! WGS72 UTM31 15 ! WGS72 UTM31 ! WGS72 UTM32 16 ! WGS84 UTM30 ! WGS84 UTM30 17 ! WGS84 UTM31 ! WGS84 UTM31 18 ! WGS84 UTM32 ! WGS84 UTM32 19 ! Réunion Gauss Laborde ! Réunion Gauss Laborde 20 ! Martinique Fort Desaix ! Martinique Fort Desaix 21 ! Guadeloupe Saint-Anne ! Guadeloupe Saint-Anne 22 ! Guyane CSG67UTM21 ! Guyane CSG67UTM21 23 ! Guyane CSG67UTM22 ! Guyane CSG67UTM22 24 ! Mayotte Combani ! Mayotte Combani 25 ! Saint Pierre et Miquelon ! Saint Pierre et Miquelon 26 ! Lambert 93 ! Lambert 93 27 ! NTFG ! NTF Géographique - Greenwitch 28 ! NTFP ! NTF Géographique - Paris 29 ! ED50G ! ED 50 géographique 30 ! WGS72G ! WGS 72 géographique 31 ! WGS84G ! WGS 84 géographique 32 ! Réunion géo. 1947 ! Réunion 1947 géographique 33 ! Guadeloupe St Anne géo ! Guadeloupe St anne géographique 34 ! Guyane CSG67 géo.. ! Guyane CSG67 géographique 35 ! Mayotte Combani géo. ! Mayotte Combani géographique 36 ! St Pierre et Miquelon géo! St Pierre et Miquelon 1950 géographique ---------------------------------------------------------------------- ED 50 géographique : -------------------- Equivalence EDIGEO : WGS72G ED50 UTM30 : ------------ Equivalence EDIGEO : UTM30 ED50 UTM31 : ------------ Equivalence EDIGEO : UTM31 ED50 UTM32 : ------------ Equivalence EDIGEO : UTM32 Guadeloupe Saint-Anne : ----------------------- Equivalence EDIGEO : GUAD48UTM20 Guadeloupe St anne géographique : --------------------------------- Equivalent EDIGEO : GUAD48GEO Guyane CSG67 géographique : --------------------------- Equivalent EDIGEO : CSG67GEO Guyane CSG67UTM21 : ------------------- Equivalence EDIGEO : CSG67UTM21 Guyane CSG67UTM22 : ------------------- Equivalence EDIGEO : CSG67UTM22 Lambert 93 : ------------ Equivalence EDIGEO : LAMB93 Lambert I Carto : ----------------- Equivalence EDIGEO : LAMB1C Lambert I Nord : ---------------- Equivalence EDIGEO : LAMB1 Lambert II Carto : ------------------ Equivalence EDIGEO : LAMB2C Lambert II Centre : ------------------- Equivalence EDIGEO : LAMB2 Lambert II Etendu : ------------------- Equivalence EDIGEO : LAMBE Lambert III Carto : ------------------- Equivalence EDIGEO : LAMB3C Lambert III Sud : ----------------- Equivalence EDIGEO : LAMB3 Lambert IV Carto : ------------------ Equivalence EDIGEO : LAMB4C Lambert IV Corse : ------------------ Equivalence EDIGEO : LAMB4 Martinique Fort Desaix : ------------------------ Equivalence EDIGEO : MART38UTM20 Mayotte Combani : ----------------- Equivalence EDIGEO : COMBANI Mayotte Combani géographique : ------------------------------ Equivalent EDIGEO : MAY050GEO NTF Géographique - Greenwitch : ------------------------------- Equivalence EDIGEO : NTFG NTF Géographique - Paris : -------------------------- Equivalence EDIGEO : NTFP Projection inconnue : --------------------- Sans équivalence EDIGEO Réunion 1947 géographique : --------------------------- Equivant EDIGEO : REUN47GEO Réunion Gauss Laborde : ----------------------- Equivalence EDIGEO : REUN47GAUSSL Saint Pierre et Miquelon : -------------------------- Equivalence EDIGEO : STPM50UTM21 St Pierre et Miquelon 1950 géographique : ----------------------------------------- Equivalent EDIGEO : STPM50GEO WGS 72 géographique : --------------------- Equivalence EDIGEO : WGS84G WGS 84 géographique : --------------------- Equivalence EDIGEO : ED50G WGS72 UTM30 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM30W72 WGS72 UTM31 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM31W72 WGS72 UTM32 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM32W72 WGS84 UTM30 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM30W84 WGS84 UTM31 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM31W84 WGS84 UTM32 : ------------- Equivalence EDIGEO : UTM32W84 Fin de la nomenclature Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Sauf nivellement, l'altitude de la station est celle de l'indication altimétrique la plus proche obtenue sur les lieux (borne...) ou sur une carte au 25000e. L'altitude est indiquée au maximum au mètre près. Elle peut dépasser les 1000 mètres pou...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/AltitudePointCaracteritisque
AltitudePointCaracteritisque
Sauf nivellement, l'altitude de la station est celle de l'indication altimétrique la plus proche obtenue sur les lieux (borne...) ou sur une carte au 25000e. L'altitude est indiquée au maximum au mètre près. Elle peut dépasser les 1000 mètres pour des stations en montagne mais être également négative pour des stations situées dans des zones inférieures au niveau de la mer. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Le bassin versant topographique (ou hydrographique) est la superficie (exprimée en kilomètres carrés entiers avec 3 chiffres significatifs) de la zone d'alimentation d'un cours d'eau ou d'un lac délimitée par la ligne de partage des eaux. Cette i...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/SuperficieBassinVersantTopo
SuperficieBassinVersantTopo
Le bassin versant topographique (ou hydrographique) est la superficie (exprimée en kilomètres carrés entiers avec 3 chiffres significatifs) de la zone d'alimentation d'un cours d'eau ou d'un lac délimitée par la ligne de partage des eaux. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Le bassin versant réel (ou hydrologique) d'un cours d'eau ou de tout autre entité hydrographique, est l'ensemble du territoire d'où provient l'eau écoulée par ce cours d'eau, qu'elle provienne de nappes souterraines ou d'un écoulement superficiel....

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/SuperficieBassinVersantReel
SuperficieBassinVersantReel
Le bassin versant réel (ou hydrologique) d'un cours d'eau ou de tout autre entité hydrographique, est l'ensemble du territoire d'où provient l'eau écoulée par ce cours d'eau, qu'elle provienne de nappes souterraines ou d'un écoulement superficiel. Le bassin versant est exprimé pour un cours d'eau à une station donnée, en kilomètres carrés entiers avec 3 chiffres significatifs. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Le premier mois de l'année d'étiage est le numéro dans l'année civile du premier mois de la période utilisée pour les études statistiques sur les basses eaux. En effet, en hydrologie, l'étude statistique des minima (comme celle des maxima) s'effe...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PremierMoisAnneeEtiage
PremierMoisAnneeEtiage
Le premier mois de l'année d'étiage est le numéro dans l'année civile du premier mois de la période utilisée pour les études statistiques sur les basses eaux. En effet, en hydrologie, l'étude statistique des minima (comme celle des maxima) s'effectue généralement à partir d'un échantillon comportant une valeur par période de 12 mois. Les limites de cette période doivent être choisies de telle sorte que le minimum s'écarte le plus de ces limites. De cette façon, les valeurs "annuelles" successives sont aussi indépendantes que possible. Pour l'étude des basses eaux, on utilise habituellement l'année civile comme période de référence. Cette coupure, généralement satisfaisante, ne convient ni aux cours d'eau d'altitude (pour lesquels les basses eaux correspondent aux basses températures) ni à certains cours d'eau de régime pluvial (pour lesquels la reconstitution des réserves en eau du sol peut se prolonger au delà du 1er janvier). Dans ces cas de figure, il est souhaitable de prendre comme premier mois de la période de calcul le mois du débit mensuel maximal moyen. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La localisation de la station sur le tronçon hydrographique est obtenue à partir du point kilométrique (pk) qui est l'abscisse curviligne de la station le long d'une entité hydrographique, mesurée sur la base de sa géométrie dans la BD Carthage et...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PkPointTronconEntiteHydroPrincipale
PkPointTronconEntiteHydroPrincipale
La localisation de la station sur le tronçon hydrographique est obtenue à partir du point kilométrique (pk) qui est l'abscisse curviligne de la station le long d'une entité hydrographique, mesurée sur la base de sa géométrie dans la BD Carthage et exprimée en kilomètres avec la précision du décamètre. Si une station de mesure est placée sur un tronçon physique d'un cours d'eau commun à plusieurs entités hydrographiques, elle possède alors plusieurs pk (exemple de la Meuse et du Canal de l'Est). Parmi les entités hydrographiques, une seule est désignée comme principale par rapport à laquelle est établi le pk du point caractéristique. Les autres entités hydrographiques sont qualifiées de secondaires et servent de base au calcul aux pk du point caractéristique sur les tronçons des entités secondaires. L'attribution d'un pk relève de la responsabilité des Agences de l'Eau.
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La date de création de la station de mesure est la date à laquelle est mise en place la station de mesure. Cette date, donnée au jour près, coïncide généralement avec le début de l'année calendaire. Cette information est administrée par les Agen...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateCreationStationMesureEauxSurface
DateCreationStationMesureEauxSurface
La date de création de la station de mesure est la date à laquelle est mise en place la station de mesure. Cette date, donnée au jour près, coïncide généralement avec le début de l'année calendaire. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La date d'arrêt d'activité de la station de mesure est la date à laquelle cessent les opérations de prélèvement sur la station de mesure qui ne remplit plus ses fonctions à cause d'événements intervenus sur le réseau hydrographique ; ou bien la da...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateArretActiviteStationMesureEauxSurface
DateArretActiviteStationMesureEauxSurface
La date d'arrêt d'activité de la station de mesure est la date à laquelle cessent les opérations de prélèvement sur la station de mesure qui ne remplit plus ses fonctions à cause d'événements intervenus sur le réseau hydrographique ; ou bien la date à laquelle le ou les organismes producteurs de données sur la station cessent d'effectuer des prélèvements pour diverses raisons : financières ou autre. Cette date, donnée au jour près, coïncide généralement avec la fin de l'année calendaire. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La date de mise-à-jour des informations sur la station de mesure est la date, donnée au jour près, à laquelle a eu lieu la dernière mise-à-jour des informations qui décrivent la station de mesure. Cette information est administrée par les Agences...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DateMAJInfosStationMesureEauxSurface
DateMAJInfosStationMesureEauxSurface
La date de mise-à-jour des informations sur la station de mesure est la date, donnée au jour près, à laquelle a eu lieu la dernière mise-à-jour des informations qui décrivent la station de mesure. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Les commentaires rassemblent des informations générales sur la station de mesure, comme les faits marquant de la vie de la station. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvr...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ComStationMesureEauxSurface
ComStationMesureEauxSurface
Les commentaires rassemblent des informations générales sur la station de mesure, comme les faits marquant de la vie de la station. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Le mode d'obtention définit, à l'aide des codes ci-dessous administrés par le SANDRE, les modalités d'acquisition des coordonnées du point caractéristique de la station de mesure. Nomenclature : Mode d'obtention des coordonnées de l'ouvrage de dé...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ModeObtentionCoordStationMesureEauxSurface
ModeObtentionCoordStationMesureEauxSurface
Le mode d'obtention définit, à l'aide des codes ci-dessous administrés par le SANDRE, les modalités d'acquisition des coordonnées du point caractéristique de la station de mesure. Nomenclature : Mode d'obtention des coordonnées de l'ouvrage de dépollution / CXN / 2001 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Inconnu ! Mode d'obtention inconnu 1 ! Relevées ! Coordonnées relevées (précision le millimètre) 2 ! Mesurées ! Coordonnées mesurées (précision le mètre) 3 ! Etablies ! Coordonnées établies (précision le décamètre) 4 ! Estimées ! Coordonnées estimées (précision le kilomètre) ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La nature de la station de mesure permet d'indiquer à l'aide de l'un des codes suivants administrés par le SANDRE si la station de mesure est manuelle ou obligatoire. Nomenclature : Nature de la station de mesure --------------------------------...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NatureStationMesureEauxSurface
NatureStationMesureEauxSurface
La nature de la station de mesure permet d'indiquer à l'aide de l'un des codes suivants administrés par le SANDRE si la station de mesure est manuelle ou obligatoire. Nomenclature : Nature de la station de mesure ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Inconnue ! Nature de la station inconnue A ! Automatique ! Station de mesure Automatique M ! Manuelle ! Station de mesure Manuelle ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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La classe de dureté définit le niveau moyen de la dureté de l'eau au droit de la station de mesure, estimé à dire d'expert à partir de l'ensemble des analyses d'eau connues sur la ou les stations de mesure située(s) sur le tronçon hydrographique ....

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ClasseDurete
ClasseDurete
La classe de dureté définit le niveau moyen de la dureté de l'eau au droit de la station de mesure, estimé à dire d'expert à partir de l'ensemble des analyses d'eau connues sur la ou les stations de mesure située(s) sur le tronçon hydrographique . Pour estimer la classe de dureté, deux méthodes peuvent être employées: - soit de la mesure directe titrimétrique (AFNOR90 003 - code SANDRE 8 ), - soit la méthode par calcul (somme pondérée des concentrations en mg/l de Ca et Mg par respectivement 0.2497 et 0.4116 : cf RODIER 7° édition p 245 - code SANDRE 358 ). La classe de dureté définit le niveau moyen de la dureté de l'eau au droit de la station de mesure, estimé à dire d'expert à partir de l'ensemble des analyses d'eau connues sur la ou les stations de mesure située(s) sur le tronçon hydrographique . Pour estimer la classe de dureté, deux méthodes peuvent être employées: - soit de la mesure directe titrimétrique (AFNOR90 003 - code SANDRE 8 ), - soit la méthode par calcul (somme pondérée des concentrations en mg/l de Ca et Mg par respectivement 0.2497 et 0.4116 : cf RODIER 7° édition p 245 - code SANDRE 358 ). Les classes de dureté retenues par le Sandre sont celles définies dans la circulaire du 7 mai 2007 DCE/23 définissant les "normes de qualité environnementale provisoires (NQEp)" des 41 substances impliquées dans l'évaluation de l'état chimique des masses d'eau. La liste des valeurs possibles est définie dans la nomenclature Sandre n°253.
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Liste des associations:

L'exception typologique permet de préciser si la station de mesure est située dans une zone géographique spécifique dans laquelle les valeurs de certains paramètres (DCO, oxygène,...) sont naturellement moins sévères (en l'absence d'influence anth...

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ExceptionTypo
L'exception typologique permet de préciser si la station de mesure est située dans une zone géographique spécifique dans laquelle les valeurs de certains paramètres (DCO, oxygène,...) sont naturellement moins sévères (en l'absence d'influence anthropiques connues) que dans le reste du territoire. Il existe aujourd'hui 6 zones d'exception typologiques : Nomenclature : Exception typologique / QES / 2001 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 1 ! Type 1 ! Type 1 : nappe alluviale d'Alsace 2 ! Type 2 ! Type 2 : plateau de Millevaches 3 ! Type 3 ! Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers 4 ! Type 4 ! Type 4 : haut bassin de la Vienne 5 ! Type 5 ! Type 5 : Zones aux valeurs MES 6 ! Type 6 ! Type 6 : zones de tourbière ---------------------------------------------------------------------- Type 1 : nappe alluviale d'Alsace : ----------------------------------- Type 1 (nappe alluviale d’Alsace) les valeurs pour la saturation en oxygène sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 2 : plateau de Millevaches : --------------------------------- Type 2 (plateau de Millevaches) : les valeurs pour la saturation en oxygène, la DCO, le COD et le NKJ sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 3 : substrats argilo-marneux du Gers : ------------------------------------------- Type 3 (substrats argilo-marneux du Gers) : les valeurs pour la saturation en oxygène et l’oxygène dissous sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 4 : haut bassin de la Vienne : ----------------------------------- Type 4 (haut bassin de la Vienne) : les valeurs pour le pH sont moins sévères que dans le reste du territoire. Type 5 : Zones aux valeurs MES : -------------------------------- Type 5 : les valeurs de MES sont moins sévères dans ces zones que dans le reste du territoire. Type 6 : zones de tourbière : ------------------------------ Type 6 : les valeurs pour le COD sont moins sévères dans ces zones de tourbières que dans le reste du territoire. Fin de la nomenclature Cette information relève de la responsabilité de l'administrateur du Système d'Evaluation de la Qualité des Eaux (SEQ'EAU).
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Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/SuccessionStationMesureEauxSurface
SuccessionStationMesureEauxSurface
Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. Cette information est sous la responsabilité du ou des organismes producteurs de données qui utilisent la station de mesure.
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La station de mesure est localisée sur une ou plusieurs zones protégées (au sens DCE), i.e. selon l'annexe IV de la Directive Cadre sur l'Eau : i) les zones désignées pour le captage d'eau destinée à la consommation humaine en application de l'ar...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/TypeZPDCE
TypeZPDCE
La station de mesure est localisée sur une ou plusieurs zones protégées (au sens DCE), i.e. selon l'annexe IV de la Directive Cadre sur l'Eau : i) les zones désignées pour le captage d'eau destinée à la consommation humaine en application de l'article 7; ii) les zones désignées pour la protection des espèces aquatiques importantes du point de vue économique; iii) les masses d'eau désignées en tant qu'eaux de plaisance, y compris les zones désignées en tant qu'eaux de baignade dans le cadre de la directive 76/160/CEE; iv) les zones sensibles du point de vue des nutriments, notamment les zones désignées comme vulnérables dans le cadre de la directive 91/676/CEE sur les nitrates, et les zones désignées comme sensibles dans le cadre de la directive 91/271/CEE, et v) les zones désignées comme zone de protection des habitats et des espèces et où le maintien ou l'amélioration de l'état des eaux constitue un facteur important de cette protection, notamment les sites Natura 2000 pertinents désignés dans le cadre de la directive 92/43/CEE(1) et de la directive 79/409/CEE(2). La liste des valeurs autorisées est la suivante : Nomenclature : Type de zone protégée DCE / MDO / 2004 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- PA5 ! ! Zones de protection des habitats (Natura 2000) pertinentes PA1 ! ! Zone de protection des eaux potables PA2 ! ! Zones conchylicoles PA4A ! ! Zones sensibles PA4B ! ! Zones vulnérables PA6 ! ! Zones de protection des oiseaux (ZPS) ---------------------------------------------------------------------- Zones conchylicoles : ----------------------- Zones désignées pour la protection des espèces aquatiques présentant un intérêt économique (zones conchylicoles). Les zones conchylicoles sont des zones de production ou de reparcage. Zones de protection des oiseaux (ZPS) : ----------------------------------------- La directive "Oiseaux", Directive 79-409 / CEE du Conseil du 2 avril 1979 concernant la conservation des oiseaux sauvages, organise la protection des oiseaux dans les Etats membres et celle de leurs habitats. Zones sensibles : ------------------- L'article 6 du décret n°94-469 du 3 juin 1994 définit la zone sensible comme suit : "Les zones sensibles comprennent les masses d'eau significatives à l'échelle du bassin qui sont particulièrement sensibles aux pollutions, notamment celles qui sont assujettis à l'eutrophisation et dans lesquelles les rejets de phosphore, d'azote, ou de ces deux substances, doivent, s'ils sont en cause de ce déséquilibre, être réduits. Un arrêté du ministre chargé de l'environnement, pris après l'avis de la mission interministérielle de l'eau et du Comité national de l'eau, peut, en tant que de besoin, préciser les critères d'identification de ces zones." Il s’agit de bassins versants, lacs ou zones maritimes qui sont particulièrement sensibles aux pollutions, notamment des zones qui sont sujettes à l'eutrophisation et dans lesquelles les rejets de phosphore, d'azote, ou de ces deux substances, doivent être réduits. Il peut également s’agir de zones dans lesquelles un traitement complémentaire (traitement de l’azote ou de la pollution microbiologique) est nécessaire afin de satisfaire aux directives du Conseil dans le domaine de l’eau (directive “ eaux brutes ”, “ baignade ” ou “ conchyliculture ”). Zones vulnérables : --------------------- Les zones vulnérables sont les terres désignées conformément à l'article 3 paragraphe 2 de la Directive Européenne n°91-676 dont les objectifs consignés dans son premier article sont : • réduire la pollution des eaux provoquées ou induites par les nitrates à partir de sources agricoles, • et prévenir toute nouvelle pollution de ce type. Une zone vulnérable est une partie du territoire où la pollution des eaux par le rejet direct ou indirect de nitrates d’origine agricole ou d’autres composés azotés susceptibles de se transformer en nitrates, menace à court terme la qualité des milieux aquatiques et plus particulièrement l’alimentation en eau potable. Sont désignées comme zones vulnérables, les zones où : • les eaux douces superficielles et souterraines, notamment celles destinées à l'alimentation en eau potable, ont ou risquent d'avoir une teneur en nitrates supérieure à 50 mg/l, • les eaux des estuaires, les eaux côtières ou marines et les eaux douces superficielles qui ont subi ou montrent une tendance à l'eutrophisation susceptible d'être combattue de manière efficace par une réduction des apports en azote. Zone de protection des eaux potables : -------------------------------------- La directive n°75/440/CEE concerne les exigences auxquelles doit satisfaire la qualité des eaux douces superficielles utilisées ou destinées à être utilisées à la production d'eau alimentaire ci-après dénommées eaux superficielles , après application des traitements appropriés. Les eaux souterraines, les eaux saumâtres et les eaux destinées à la réalimentation des nappes souterraines ne sont pas soumises à la présente directive. Sont considérées, pour l'application de la directive n°75/440/CEE , comme eau alimentaire, toutes les eaux superficielles destinées à la consommation humaine et fournies par des réseaux de canalisation à l'usage de la collectivité. Zones de protection des habitats (Natura 2000) pertinentes : ------------------------------------------------------------- La Directive 92-43 / CEE du Conseil du 21 mai 1992 concernant la conservation des habitats naturels (ne pas confondre avec les habitations) ainsi que de la faune et de la flore sauvages, elle prévoit la constitution d'un réseau de sites (le réseau Natura 2000) abritant les habitats naturels et les habitats d'espèces de faune et de flore sauvages d'intérêt communautaire. Elle comprend notamment une annexe I (habitats naturels), une annexe II (espèces animales et végétales) pour lesquels les Etats membres doivent désigner des Zones Spéciales de Conservation et une annexe III relative aux critères de sélection des sites. Pour la désignation des sites Natura 2000 pertinents, une sélection des espèces animales (oiseaux et autres) et végétales liées à l’eau a été faite parmi les sites Natura 2000. Fin de la nomenclature
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Le type lithologique est une nomenclature servant à qualifier des superficies d’affleurements pouvant atteindre plusieurs centaines ou milliers de km2. Elle se compose de 13 occurrences qui sont : Nomenclature : Type lithologique / PEZ / 2000 - 1...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/TypeLithologique
TypeLitho
Le type lithologique est une nomenclature servant à qualifier des superficies d’affleurements pouvant atteindre plusieurs centaines ou milliers de km2. Elle se compose de 13 occurrences qui sont : Nomenclature : Type lithologique / PEZ / 2000 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! ! Type lithologique inconnu 1 ! ! Roches détritiques poreuses et/ou fissurées 2 ! ! Roches carbonatées cohérentes poreuses et/ou fissurées 3 ! ! Roches volcaniques poreuses 4 ! ! Roches carbonatées fissurées et/ou fracturées 5 ! ! Roches carbonatées karstifiées (sédimentaires ou métamorphiques) 6 ! ! Roches plutoniques fracturées 7 ! ! Roches volcaniques cohérentes et fracturées 8 ! ! Roches métamorphiques fracturées 9 ! ! Formations sédimentaires peu perméables 10 ! ! Roches sédimentaires très peu perméables 11 ! ! Roches métamorphiques compactes non fracturées 12 ! ! Roches volcaniques compactes non fracturées ---------------------------------------------------------------------- Fin de la nomenclature La liste des types lithologiques relève de la responsabilité du SANDRE.
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La lithologie est la nature des roches constituant une formation géologique, notamment les systèmes aquifères. Elle se décrit à l'aide de la nomenclature ci-après administrée par le SANDRE dont les définitions des éléments sont issues du dictionn...

http://id.eaufrance.fr/ddd/SAQ/2002-1/Lithologie
Lithologie
La lithologie est la nature des roches constituant une formation géologique, notamment les systèmes aquifères. Elle se décrit à l'aide de la nomenclature ci-après administrée par le SANDRE dont les définitions des éléments sont issues du dictionnaire de géologie (A. Foucault et J.F. Raoult, 4e édition, 1996, MASSON) : Nomenclature : Lithologies / PEZ / 2000 - 1 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- 0 ! Lithologie inconnue ! Lithologie inconnue 1 ! Alluvions ! Alluvions 2 ! Alluvions caillouteuses ! Alluvions caillouteuses (galets, graviers, sables) 3 ! Alluvions graveleuses ! Alluvions graveleuses (graviers, sables) 4 ! Altérites ! Altérites 5 ! Andésite ! Andésite 6 ! Anhydrite ! Anhydrite 7 ! Arènes ! Arènes (granitiques ou gneissiques) 8 ! Argiles ! Argiles 9 ! Arkoses ! Arkoses 10 ! Basalte ! Basalte 11 ! Blocs ! Blocs 12 ! Calcaires ! Calcaires 13 ! Gelé (cf. 15) ! Gelé (cf. 15) 14 ! Calcaires dolomitiques ! Calcaires dolomitiques 15 ! Calcaires marneux ! Calcaires marneux 16 ! Calcschistes ! Calcschistes 17 ! Gelé (cf. 66) ! Gelé (cf. 66) 18 ! Gelé ! Gelé 19 ! Conglomérats compacts ! Conglomérats compacts 20 ! Craie ! Craie 21 ! Dacite ! Dacite 22 ! Diorite ! Diorite 23 ! Dolomies ! Dolomies 24 ! Gelé (cf. 79 ou 80) ! Gelé (cf. 79 ou 80) 25 ! Gabbro ! Gabbro 26 ! Galets (et cailloux) ! Galets (et cailloux) 27 ! Gneiss ! Gneiss 28 ! Granite ! Granite 29 ! Graviers ! Graviers 30 ! Grès ! Grès 31 ! Gypse ! Gypse 32 ! Houille ! Houille 33 ! Lapillis (ou pouzzolane) ! Lapillis (ou pouzzolane) 34 ! Latite ! Latite 35 ! Lignite ! Lignite 36 ! Limburgite ! Limburgite 37 ! Limons ! Limons 38 ! Loess ! Loess 39 ! Gelé (cf. 66) ! Gelé (cf. 66) 40 ! Marnes ! Marnes 41 ! Micaschiste ! Micaschiste 42 ! Molasse ! Molasse 43 ! Monzonite ! Monzonite 44 ! Moraines ! Moraines 45 ! Péridotite ! Péridotite 46 ! Phonolite ! Phonolite 47 ! Gelé (cf. 81) ! Gelé (cf. 81) 48 ! Gelé (cf. 77 ou 78) ! Gelé (cf. 77 ou 78) 49 ! Rhyolite ! Rhyolite 50 ! Sables argileux ! Sables argileux 51 ! Sables fins ! Sables fins 52 ! Sables grossiers ! Sables grossiers 53 ! Sables moyens ! Sables moyens 54 ! Schistes ! Schistes 55 ! Schistes cristallins ! Schistes cristallins 56 ! Halite(Sel Gemme) ! Halite(Sel Gemme) 57 ! Syénite ! Syénite 58 ! Syénite néphélinique ! Syénite néphélinique 59 ! Tonalite ! Tonalite 60 ! Tourbe ! Tourbe 61 ! Trachyte ! Trachyte 62 ! Gelé (cf. 64) ! Gelé (cf. 64) 63 ! Gelé ! Gelé 64 ! Tufs et travertin ! Tufs et travertin 65 ! Jaspes (phtanites) ! Jaspes (phtanites) 66 ! Marbres et/ou cipolins ! Marbres et/ou cipolins 67 ! Migmatites ! Migmatites 68 ! Sables ! Sables 69 ! Silt ! Silt 70 ! Craie marneuse ! Craie marneuse 71 ! Conglomérat ! Conglomérat (brèches ou poudingues) 72 ! Limon argileux ! Limon argileux 73 ! Vases consolidées ! Vases consolidées 74 ! Schistes bitumeux ! Schistes bitumeux 75 ! Falun (sable coquillier) ! Falun (sable coquillier) 76 ! Gaize ! Gaize 77 ! Quartzites (ortho) ! Quartzites (orthoquartzites) 78 ! Quartzites (méta) ! Quartzites (métaquartzites) 79 ! Flysh calcaire ! Flysh calcaire 80 ! Flysh argileux ! Flysh argileux 81 ! Sylvinite (Potasse) ! Sylvinite (Potasse) ---------------------------------------------------------------------- Alluvions : ----------- Sédiment des cours d’eau et des lacs composé, selon les régions traversées et la force du courant, de galets, de gravier et de sable en dépôts souvent lenticulaires, la fraction fine correspondant à des argiles et des limons. Les alluvions caillouteuses sont des alluvions contenant des galets. Alluvions caillouteuses (galets, graviers, sables) : ---------------------------------------------------- Les alluvions caillouteuses sont des alluvions (cf. alluvions) contenant des galets. Altérites : ----------- Formation superficielle résultant de l’altération et de la fragmentation sur place de roches antérieures sans transformations pédologiques notables. Andésite : ---------- Roche magmatique effusive, en général gris violacé clair (leucocrate), microlitique fluidale à verre peu abondant, souvent bulleuse à aspect finement scoriacé et à vacuoles remplies de cristobalite et tridymite ou secondairement de calcite blanche. Les andésites basiques donnent des coulées, celles plus acides sont moins fluides et donnent des aiguilles et des culots (volcanisme explosif fréquent). Anhydrite : ----------- Sulfate Ca SO4 du système orthorhombique, en cristaux tabulaires à 3 clivages orthogonaux (apparence de symétrie cubique) donnant deux faces à éclat vitreux ou nacré à fines stries parallèles, et une face non striée ; blanc, gris, bleuâtre ou rougeâtre. Arènes (granitiques ou gneissiques) : ------------------------------------- Sable grossier résultant de l’altération sur place de roches magmatiques ou métamorphiques riches en quartz et feldspath (en particulier granite ou gneiss). Argiles : --------- Terme désignant soit un minéral (minéral argileux) soit une roche composée pour l’essentiel de ces minéraux. Les roches argileuses sont des roches sédimentaires ou résiduelles à grain très fin (classe des lutites), contenant au moins 50 % de minéraux argileux, auxquels peuvent s’ajouter d’autres minéraux très divers, détritiques ou non, d’où des compositions très variées (argiles calcareuses, argiles sableuses, argiles micacées...). Arkoses : --------- Roche sédimentaire détritique terrigène contenant des grains de quartz (jusqu’à 60% environ) de feldspath, pour 25 % au moins, et fréquemment quelques micas. Basalte : --------- Roche magmatique effusive très commune, les basaltes, avec les andésites à pyroxène, constituant 95% des laves continentales et océaniques. Blocs : ------- Eléments rocheux, d’origine quelconque, dont la taille est de quelques centimètres à plusieurs mètres. Selon les classifications granulométriques retenues, un bloc aura un diamètre supérieur à 100, 200 ou 256 mm (la fraction la plus grossière des rudites). Calcaires : ----------- Roche sédimentaire carbonatée contenant au moins 50% de calcite Ca CO3, pouvant être accompagnée d’un peu de dolomite, d’aragonite, de sidérite. Les calcaires se classifient sur la base d’une nomenclature fondée sur leurs caractères les plus marquants : Calcaire pur : 100% à 95% de calcite et 5% maximum de dolomite Calcaire dolomitique : 10 à 50% de dolomite Calcaire marneux : 5 à 35% d’argile Marne : 35 à 65% d’argile Calcaires dolomitiques : ------------------------ Des calcaires argileux sont des calcaires (cf. calcaires) qui contiennent de 10 à 50% de dolomite. Calcaires marneux : ------------------- Des calcaires argileux sont des calcaires (cf. calcaires) qui contiennent de 5 à 35% d’argile. Calcschistes : -------------- Schiste du métamorphique général faible, riche en calcaire. Conglomérats compacts : ----------------------- Roche sédimentaire détritique formée pour 50% au moins de débris de roches de dimension supérieure à 2 millimètres (rudites) liés par un ciment (avec des éléments dont la taille est comprise entre 62,5µm et 2 mm, il s’agit de microconglomérats). Ce terme regroupe les brèches sédimentaires (à éléments en majorité anguleux), les poudingues (à éléments arrondis ou galets) et tous leurs intermédiaires. Craie : ------- Roche sédimentaire marine, calcaire (90% ou plus de Ca CO3), à grain très fin, blanche, poreuse, tendre et friable, traçante. Dacite : -------- Roche magmatique effusive, en général gris clair (leucocrate), microlitique avec verre abondant et phénocristaux de quartz automorphe, de plagioclase (andésine, parfois à liseré d’orthose) et de minéraux ferromagnésiens : biotites, hornblende ou pyroxène type hypersthène. Diorite : --------- Roche magmatique plutonique grenue, à éléments blanchâtres (leucocrate) et verdâtres ou noirâtres, essentiellement composée de plagioclases blanchâtres subautomorphes et d’amphibole verte, avec un peu de biotite. Dolomies : ---------- Roche sédimentaire carbonatée contenant 50% ou plus, de carbonate, dont la moitié au moins est sous forme de dolomite (Ca, Mg) (CO3) 2. Le terme englobe en pratique les dolomies pures (90 à 100% de dolomite) et les dolomies calcarifères ou calcareuses (50 à 90% de dolomite). Flysh argileux : ---------------- Formation sédimentaire détritique à dominante argileuse, souvent épaisse, composée essentiellement d'un empilement de turbidites, typiquement en concordance avec les couches sous-jacentes, et déposées dans une zone orogénique aujourd'hui tectonisée. Flysh calcaire : ---------------- Formation sédimentaire détritique à dominante calcaire, souvent épaisse, composée essentiellement d'un empilement de turbidites, typiquement en concordance avec les couches sous-jacentes, et déposées dans une zone orogénique aujourd'hui tectonisée. Gabbro : -------- Roche magmatique plutonique grenue, de teinte générale vert noirâtre, plus ou moins mouchetée de blanc (méso à mélanocrate), composée de plagioclase subautomorphe et de pyroxène interstitiel, secondairement de hornblende brune, d’olivine, de biotite. Gaize : ------- Roche sédimentaire siliceuse, en partie détritique et en partie d'origine chimique, en général grise à verdâtre, souvent poreuse et légère. Galets (et cailloux) : ---------------------- Cailloux arrondis par usure mécanique (éolienne, fluviatile, marine). Gelé : ------ Anciennement 'Conglomérats poreux ou fissurés' Gelé : ------ Gelé, Anciennement 'Tufs volcaniques' Gelé (cf. 15) : --------------- Gelé (cf. 15), anciennement 'Calcaires argileux' Gelé (cf. 66) : --------------- gelé (cf. 66) Gelé (cf. 77 ou 78) : --------------------- Gelé (cf. 77 ou 78), anciennement 'Quartzites' Gelé (cf. 79 ou 80) : --------------------- gelé (cf. 79 ou 80), anciennement 'Flysh' Gelé (cf. 81) : --------------- Gelé (cf. 81), anciennement 'Potasse' Gneiss : -------- Roche métamorphique du métamorphisme général, très commune, méso - à catazonale le plus souvent, à grain moyen ou grossier (du mm au cm), à foliation souvent nette caractérisée par des lits généralement de teinte sombre, riches en minéraux ferromagnésiens (micas, amphiboles, ...) alternant avec des lits clairs (blancs, gris, rosés) de quartz et de feldspaths, ces derniers nombreux et visibles à l’oeil nu. Granite : --------- Roche magmatique plutonique très commune, grenue, de teinte claire (blanche, grise, rosée, rouge, bleutée : hololeucocrate à leucocrate) avec les minéraux essentiels suivants, constituant 80% de la roche : quartz xénomorphe interstitiel, feldspath alcalin (orthose, microline), et plagioclase (albite, oligoclase) subautomorphe. Graviers : ---------- Eléments de quelques millimètres dans les roches sédimentaires détritiques (classe des rudites). Selon les classifications, les limites vont de 1 ou 2 millimètres à 15 ou à 30 mm, parfois plus. Grès : ------ Roche sédimentaire détritique terrigène composée à 85% au moins de grains de quartz plus ou moins arrondis, de 1/16 mm (62,5µm) à 2 mm (classe des arénites). Gypse : ------- Sulfate hydraté CaSO4, 2H2O, du système monoclinique, à clivages parfaits, à aspect vitreux translucide, nacré ou soyeux suivant les faces, en cristaux tabulaires ou lenticulaires (variétés à faces légèrement courbes, à impuretés de Na, Cl, ...) ; il montre fréquemment des macles simples, en fer de lance, en queue d'hirondelle ou queue d'aronde, il est incolore, blanc, jaunâtre à miel, parfois rougeâtre. Sa dureté est faible. A la flamme, il décrépite, blanchit et s'exfolie. Il est soluble dans l'eau (eaux séléniteuses impropres à la consommation). C'est un minéral fréquent dans les roches sédimentaires et c'est l'un des termes majeurs des évaporites. Halite(Sel Gemme) : ------------------- Chlorure NaCl présent sous la forme de gisements étendus dans des régions sédimentaires, exploitée notamment pour le sel de cuisine, les usages agricoles ou industriels... Houille : --------- Une des formes du charbon qui est le terme général désignant, au sens large, une roche sédimentaire stratifiée, servant de combustible, noire le plus souvent, organogène et essentiellement formée de débris végétaux. La houille au sens large contient 85% de carbone, d’aspect noir, mat ou brillant, tachant les doigts, avec, selon les proportions de matières volatiles (distillant à partir de 960°C) : - charbon flambant gras : plus de 33% de matières volatiles, - charbon gras : 20 à 33%, - charbon demi-gras : 12 à 20%, - charbon maigre : 8 à 12%. La houille au sens strict en contient 5% et on la nomme aussi, à tort, charbon bitumeux pour sa richesse en goudrons (qui ne sont pas des bitumes). Lapillis (ou pouzzolane) : -------------------------- Fragments de lave (élément pyroclastique) projetés par les volcans, à surface scoriacée ou non, et dont la taille est comprise entre 2 et 30 mm, ou entre 2 et 64 mm, selon la classification granulométrique retenue. L’accumulation de tels fragments, également nommée lapilli, ou pouzzolane, donne le plus souvent des couches meubles. Latite : -------- Variété de trachyandésite Lignite : --------- Variété de charbon. Limburgite : ------------ Variété de basanite. Limons : -------- Dépôt détritique meuble, argileux et silteux, à grain très fin (classes de lutites), continental et d’origine fluviatile, lagunaire ou encore éolienne (limons des plateaux, loess). Loess : ------- Dépôt sédimentaire détritique meuble, non stratifié, argilo-calcaire et silteux, à grain inférieur à 62,5 µm (classe de lutites), continental et d’origine éolienne. Ces dépôts, nommés aussi ‘limons des plateaux’, sont de nature périglaciaire. Marbres et/ou cipolins : ------------------------ Marbres : Roche métamorphique dérivant de calcaires ou de dolomies, par métamorphisme général ou de contact. Désigne également toute roche susceptible de prendre un beau poli, et d’être utilisée en décoration ; dans cette acception, le mot n’a pas de sens pétrographique précis (à ne pas utiliser). Cipolin : Calcaire métamorphique à minces veines de serpentine favorisant un débit en fines pelures (d’où leur nom). Au sens large, roches métamorphiques calcaires (calcaires cristallin) formée de cristaux de calcite enchevêtrés, à cassure saccharoïde (ressemblant à la cassure d'un morceau de sucre), donnant souvent des beaux marbres. Marnes : -------- Roche sédimentaire constituée d’un mélange de calcaire et d’argile (pour 35 à 65%), formant la transition entre les calcaires argileux (= calcaires marneux, avec 5 à 35% d’argile) et les argiles calcareuses (= marnes argileuses, avec 65 à 95% d’argile). Micaschiste : ------------- Roche métamorphique commune, épi- à méso-zonale, à grain généralement moyen, à schistosité et foliation marquée, riche en lamelles de mica visibles à l’oeil nu, d’où une structure lépidoblastique et un débit facile en plaquettes (quelques millimètres au centimètres) à surface brillante, claire ou sombre selon la couleur du micas. Les minéraux constitutifs sont les micas, très abondants (biotite et/ou muscovite), le quartz, en cristaux visible à l’oeil, dispersés ou groupés en mince lits discontinus, les feldspaths peu nombreux (<20%) et microscopiques (différence d’avec les gneiss) ; les autres minéraux possibles sont très variés (selon la richesse en Al2O3, Ca, ...), et sont souvent sous forme de porphyroblastes (d’où le nom de micaschiste à minéraux) avec : silicate d’alumine, staurotide, cordiérite, grenat, humite, trémolite, ... Les variétés sont désignées d’après les minéraux : micaschiste à andalousite, à grenat, ... micaschiste calcifère si la calcite abonde (souvent alors sous forme de cristaux engrenés donnant de minces lits clairs). Les micaschistes sont d’origine para, et dérivent d’argiles et de pélites (séquence pélitique) ou de pélites calcareuses. Molasse : --------- Formation sédimentaire détritique, épaisse, composée pour parties de couches turbiditiques mais aussi de couches terrigènes non turbiditiques (grès, conglomérats), déposée dans une zone orogénique en fin de tectonisation, et typiquement en discordance avec les couches sous-jacentes. Monzonite : ----------- Roche magmatique, grenue, leucocrate, qui est une syénite calco-alcaline avec autant d’orthose que de plagioclase (oligoclase surtout, ou andésite), et hornblende verte, augite, biotite, sphène, apatite, zircon. Moraines : ---------- Ensemble de pierres (blocs, cailloux, galets, sables y compris sables fins : 'farine glacière'...) entraînées par un glacier. Péridotite : ------------ Roche magmatique, grenue, jaune sombre huileux ou plus souvent vert noirâtre, holomélanocrate avec 90 à 100% de minéraux ferromagnésiens (roche ultrabasique ou roche ultramafique) avec olivine dominante accompagnée de pyroxène ou de spinelle (picotite, chromite), et parfois d’amphibole brune, de biotite, et de grenat. Phonolite : ----------- Roche magmatique effusive, grise verdâtre (leucocrate), à structure microlitique fluidale, à verre peu abondant, à débit en dalles sonores, à patine blanchâtre et cassure à éclat gras, avec feldspath (sadine, anorthose) et feldspathoïde : néphéline en petits cristaux seulement, parfois haüyne bleue, noséane jaunâtre ou leucite en phénocristaux, les ferromagnésiens sont l’aegyrine ou l’augite aegyrinique, parfois des amphiboles (hornblende brune, katophorite rouge) ; sphène, apatite, et zircon sont fréquents. Quartzites (métaquartzites) : ----------------------------- Quartzite métamorphique issu de la recristallisation d'un grès, parfois d'une radiolarite, ou encore d'un filon de quartz. Quartzites (orthoquartzites) : ------------------------------ Grès quartzeux ou quartzite sédimentaire exclusivement silicieux. Rhyolite : ---------- Roche magmatique effusive, riche en verre, de teinte claire (leucocrate), à microlites et phénocristaux rares : quartz souvent bipyramidé et corrodé (quartz rhyolitique), feldspath (ex. sanidine), amphibole et biotite. Sables argileux : ----------------- Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Sables fins : ------------- Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Sables grossiers : ------------------ Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Sables moyens : --------------- Au sens courant, matériau meuble formé de grains de quartz (grains de sable) tel celui des plages ou des dunes. Plus précisément, sédiment détritique meuble dont les grains sont en majorité compris entre 1/16 mm (62,5µm) et 2 mm (classe des arénites). La nomenclature fait intervenir le grain, et la nature des éléments dominants (sables quartzeux, calcaires...) ou d’éléments particuliers : sables feldspathiques, micacés, aurifères, diamantifères... Schistes : ---------- Au sens large, toute roche susceptible de se débiter en feuillets. Ex. : les schistes houillers, qui sont souvent des pélites psammitiques. Au sens strict, roche ayant acquis une schistosité sous l’influence de contraintes tectoniques. Ces schistes sont caractérisés par un débit plus ou moins facile en feuillets, dû soit à une fracturation (schistosité de fracture), soit à une orientation des cristaux de la roche parallèlement à ces plans de clivage (schistosité de flux), et ce sont alors des roches métamorphiques. Schistes cristallins : ---------------------- Expression ancienne désignant l’ensemble des roches du métamorphisme général de la séquence pélitique, regroupant les schistes sériciteux ou chloriteux, les micaschistes et les gneiss. Syénite : --------- Roche magmatique grenue, blanchâtre, plus souvent rosée à rouge (hololeucocrate à leucocrate), avec comme minéral essentiel (>60%) du feldspath alcalin (orthose, anorthose, microline en général perthitique) qu’accompagne un peu de biotite (type lépidomélane souvent) et hornblende. Syénite néphélinique : ---------------------- Roche magmatique grenue, blanchâtre, grise, rosée (hololeucocrate à leucocrate), avec des feldspaths alcalins (souvent microcline perthitique) et des feldspathoïdes, néphéline le plus souvent (automorphe si abondant, xénomorphe et interstitielle si rare, et difficile alors à identifier), parfois sodalite, analcime, haüyne. Sylvinite (Potasse) : --------------------- Roche correspondant à un mélange intime de halite NaCl et de sylvite KCl. Tonalite : ---------- Variété de diorite quartzique. Tourbe : -------- Roche combustible légère, brunâtre, surtout formée de l’accumulation de mousses. Trachyte : ---------- Roche magmatique effusive, blanchâtre, grise, gris verdâtre (leucocrate), microlitique et fluidale (structure trachytique), peu ou pas porphyrique, souvent un peu poreuse et donc légère, constituée de sanidine (en microlites ou en phénocristaux limpides et craquelés) d’anorthose, d’albite, avec biotite et amphibole plus rares, à mésostase vitreuse ou cryptocristalline peu abondante. Tufs et travertin : ------------------- Tufs : Roche formée par accumulation de projections volcaniques en fragments de quelques millimètres (roche pyroclastique à lapillis dominants), pouvant contenir des blocs ou des cendres, et consolidée sous l’action de l’eau. Travertin : Roche sédimentaire calcaire continentale, à aspect concrétionné, plus ou moins vacuolaire, grise à jaunâtre, grossièrement litée. Les travertins se déposent aux émergences de certaines sources, et dans des cours d’eau peu profonds à petites cascades (précipitation des carbonates activée par les turbulences et la perte en CO2). Fin de la nomenclature
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Le tronçon hydrographique est une notion définie par la circulaire n°91-50 : “ le tronçon hydrographique est une entité ou partie d'entité située intégralement à l'intérieur d'une zone hydrographique. ” Un tronçon hydrographique forme l'intersec...

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TronconEntiteHydrographiquePrincipale
Le tronçon hydrographique est une notion définie par la circulaire n°91-50 : “ le tronçon hydrographique est une entité ou partie d'entité située intégralement à l'intérieur d'une zone hydrographique. ” Un tronçon hydrographique forme l'intersection entre une entité hydrographique et une zone hydrographique, identifiée de façon unique sur le plan national à l'aide d'un code hydrographique. Il peut être découpé en éléments hydrographiques distinguant le sous-milieu, codifié suivant une lettre en 8ème position. Le tronçon hydrographique est défini par un point kilométrique amont et un point kilométrique aval mesuré à partir de l’exutoire/embouchure du cours d’eau sur lequel il est situé. Le point kilométrique hydrographique (pk) permet de repérer un point sur le linéaire d'une entité. Au sens de la codification hydrographique, le point kilométrique 1000 étant pris pour origine, le pk d'un point est défini comme le complément à 1000 km de la distance entre ce point et cette origine dans un référentiel cartographique donné. Le tronçon hydrographique ne doit pas être confondu avec le tronçon hydrographique élémentaire : en effet, le tronçon élémentaire est un découpage d’un cours d’eau en arcs selon un ensemble d’attributs homogènes issu de la représentation cartographique du référentiel. Le tronçon hydrographique de la circulaire sera généralement constitué de plusieurs tronçons hydrographiques élémentaires. L'identification et la délimitation des tronçons, et plus généralement la mise en place de la codification hydrographique, est sous la responsabilité des Agences de l'Eau.
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La commune est une des circonscriptions administratives pivots du découpage administratif du territoire national. Elle est identifiée par un code alphanumérique sur 5 positions attribué par l'INSEE - à ne pas confondre avec le code postal. La not...

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CommuneLimitrophe
La commune est une des circonscriptions administratives pivots du découpage administratif du territoire national. Elle est identifiée par un code alphanumérique sur 5 positions attribué par l'INSEE - à ne pas confondre avec le code postal. La notion de commune ne doit pas être confondue avec celle de "ville nouvelle" qui fait l'objet de la loi n°70-610 du 10 juillet 1970. Cette dernière définit un certain nombre de dispositions tendant à faciliter la création "d'agglomérations nouvelles", communément appelées "villes nouvelles". Pour mieux répondre à certains de leurs besoins qui sont communs à d'autres collectivités territoriales et qui dépassent souvent le cadre et les capacités d'une entité communale, les communes peuvent adhérer à une ou plusieurs institutions inter collectivités territoriales à chacune desquelles elles délégueront une ou plusieurs compétences dans le but de mettre en commun les moyens indispensables pour atteindre leurs objectifs. Une commune peut également avoir un ou plusieurs liens avec une ou plusieurs communes à la suite de l'évolution du découpage communal (scission ou fusion de communes...). A chaque lien, il sera précisé dans les attributs "Nature de l'évolution" et "Date de l'évolution" du lien "Historique du découpage communal", la nature de l'évolution ainsi que la date à laquelle elle intervient. Certaines communes tiennent le rôle de chef lieu pour les régions, les départements, les arrondissements et les cantons. La liste des communes est sous la responsabilité de l'INSEE.
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Le concept principal du découpage hydrographique est l’entité hydrographique définie par la circulaire n°91-50. L’entité hydrographique est un cours d’eau naturel ou aménagé, un bras naturel ou aménagé, une voie d’eau artificielle (canal,…), un p...

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EntiteHydrographique
Le concept principal du découpage hydrographique est l’entité hydrographique définie par la circulaire n°91-50. L’entité hydrographique est un cours d’eau naturel ou aménagé, un bras naturel ou aménagé, une voie d’eau artificielle (canal,…), un plan d’eau ou une ligne littorale. La nature d’une entité hydrographique n’est pas constante sur toute l’entité. Par exemple, un cours d’eau naturel peut être aménagé sur une partie. Tous ces changements peuvent être indiqués en distinguant des sous-milieux sur l’entité. Les entités hydrographiques sont décomposées en deux types : - les entités hydrographiques linéaires ou cours d’eau, - les entités hydrographiques surfaciques correspondant aux plans d’eau et aux entités linéaires dont les zones larges (supérieures à 50 mètres) sont représentées par des éléments surfaciques. Une entité hydrographique surfacique peut être traversée par un cours d’eau, qui sera nommé cours d’eau principal. Chaque entité est identifiée par un code générique unique au niveau national. Ce code alphanumérique sur 8 positions est constitué de tirets et de caractères. Par exemple, un cours d'eau qui traverse plusieurs zones ou plusieurs sous-secteurs aura un code générique du format des codes génériques suivants 'V12-4000' ou 'R5--0420' (cf. ci-après pour la règle de construction). De plus, une entité hydrographique possède une dénomination dite principale. Règle de construction du code générique de l’entité hydrographique : A chaque entité hydrographique est attribué un numéro à 3 chiffres (5, 6 et 7ème caractères) unique pour le milieu et la ou les zones hydrographiques auxquels elle appartient : il s'agit du numéro de l'entité hydrographique. Une entité hydrographique appartenant à plusieurs zones conserve son numéro d'entité dans toutes les zones concernées. Deux entités hydrographiques d'un même milieu appartenant à deux sous-milieux différents auront des numéros d'entité distincts. Les quatre premiers caractères du code générique correspondent à l’ensemble des codes invariants des zones hydrographiques, le reste des caractères étant remplacé par des tirets '-'. Par exemple, le cours d’eau ' Viveronne ' a pour numéro de l’entité : 050 et pour code milieu : 0. Ce cours d’eau est situé à l’intérieur d’une seule zone hydrographique : P737. Son code générique est donc : P7370500 Le cours d’eau 'La Dronne' a pour numéro d’entité : 025 et pour code milieu : 0 . Ce cours d’eau traverse plusieurs zones hydrographiques (même plusieurs sous-secteurs ) : P746,P744, P742, P70, P734, P731, P730, P716, P715, P714, P711, P710, P702, P701, P700. Parmi ces codes, seuls les deux caractères sont invariants. Son code générique est donc : P7--0250 De manière similaire, la Garonne a pour numéro d’entité : 000 et pour code milieu : 0. Ce cours traverse plusieurs secteurs hydrographiques (tout commencant par “ 0 ”. Son code générique est : 0---00000 L'identification et la définition des entités hydrographiques relève de la responsabilité des Agences de l'Eau.
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Le cortège des espèces floristiques et faunistiques d’un cours d’eau évolue naturellement de l’amont vers l’aval des cours d’eau sous l’influence des changements de certains paramètres abiotiques (c’est-à-dire non biologiques : minéralisation de l...

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NiveauTypologiqueTheoriqueConstate
Le cortège des espèces floristiques et faunistiques d’un cours d’eau évolue naturellement de l’amont vers l’aval des cours d’eau sous l’influence des changements de certains paramètres abiotiques (c’est-à-dire non biologiques : minéralisation de l’eau, vitesse du courant, température de l’eau, etc...). Le niveau typologique s'inscrit dans un système de zonation amont-aval représentatif de ce phénomène et décrit pour la première fois par Verneaux (Verneaux, J. (1977) Biotypologie de l’écosystème « eau courante ». Déterminisme approché de la structure biotypologique, pp. 77-79, compte rendu de l’académie des sciences de Paris, Série D, Paris). Il s’affine actuellement avec la notion de région ichyo-géographique. A chaque niveau typologique correspond un édifice biologique théorique qui lui est propre. On distingue en premier lieu le niveau typologique théorique (noté T0 à T9) calculé à partir des six paramètres abiotiques et le niveau typologique biologique (noté B0 à B9) estimé à partir des communautés vivantes. L'écart entre un peuplement installé sur un point et celui que l'on devrait normalement y trouver renseigne sur l'intensité des dégradations du milieu. Dans la pratique, seuls les peuplements de poissons sont couramment utilisés pour la définition du niveau typologique biologique. On distingue deux niveaux typologiques théoriques : - le niveau typologique théorique originel c’est-à-dire le niveau typologique qui serait obtenu si la rivière n’avait subi aucune perturbation, - le niveau typologique théorique constaté qui prend en compte les influences anthropiques qui viendraient à modifier tout ou partie des six paramètres abiotiques de base (par exemple augmentation de la température ou de la dureté par rejets, augmentation de la section mouillée par création de biefs...). C’est ce dernier indice qui est pris en compte ici. Il est calculé à l’aide des six éléments suivants relevés au droit de la station : - température maximale moyenne du mois le plus chaud, - dureté totale, - section mouillée à l'étiage, - largeur moyenne du lit mineur, - pente de la ligne d'eau, - distance estimative aux sources. Les variations de cet indice en un point donné sont exceptionnelles et liées à des aménagements importants. Cependant, la connaissance du milieu pouvant s'améliorer par une plus grande précision des valeurs de l'un des six éléments composant l'indice, des ajustements sont susceptibles d'être opérés sur un point donné. Ces ajustements doivent être datés. Le calcul des niveaux typologiques théoriques constatés relève de la responsabilité du producteur de données.
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Une ou plusieurs stations de mesure de la qualité peuvent être rattachées à un ou plusieurs sites hydrométriques afin d'estimer le débit au droit de celles-ci. Le rattachement d'une station de mesure de la qualité à un ou plusieurs sites hydrométr...

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RattachementSiteHydro
Une ou plusieurs stations de mesure de la qualité peuvent être rattachées à un ou plusieurs sites hydrométriques afin d'estimer le débit au droit de celles-ci. Le rattachement d'une station de mesure de la qualité à un ou plusieurs sites hydrométriques n'est pas définitif mais seulement pour une période déterminée car l'évolution des réseaux de mesure hydrométriques amène parfois à modifier le rattachement. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Si une station de mesure est placée sur un tronçon physique d'un cours d'eau commun à plusieurs entité hydrographiques, elle possède alors plusieurs PKM (exemple de la Meuse et du Canal de l'Est). Parmi les entités hydrographiques, une seule est d...

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TronconEntiteHydrographiqueSecondaire
Si une station de mesure est placée sur un tronçon physique d'un cours d'eau commun à plusieurs entité hydrographiques, elle possède alors plusieurs PKM (exemple de la Meuse et du Canal de l'Est). Parmi les entités hydrographiques, une seule est désignée comme principale par rapport à laquelle est établi le PKM du point caractéristique. Les autres entités hydrographiques sont qualifiées de secondaires et servent de base au calcul aux PKM du point caractéristique sur les tronçons des entités secondaires. L'attribution des codes hydrographiques et des PKM relèvent de la responsabilité des Agences de l'Eau.
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Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfon...

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PointPrelEauxSurf
Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Le cortège des espèces floristiques et faunistiques d’un cours d’eau évolue naturellement de l’amont vers l’aval des cours d’eau sous l’influence des changements de certains paramètres abiotiques (c’est-à-dire non biologiques : minéralisation de l...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NiveauTypologiqueBiologique
NiveauTypologiqueBiologique
Le cortège des espèces floristiques et faunistiques d’un cours d’eau évolue naturellement de l’amont vers l’aval des cours d’eau sous l’influence des changements de certains paramètres abiotiques (c’est-à-dire non biologiques : minéralisation de l’eau, vitesse du courant, température de l’eau, etc...). Le niveau typologique s'inscrit dans un système de zonation amont-aval représentatif de ce phénomène et décrit pour la première fois par Verneaux (Verneaux, J. (1977) Biotypologie de l’écosystème « eau courante ». Déterminisme approché de la structure biotypologique, pp. 77-79, compte rendu de l’académie des sciences de Paris, Série D, Paris). Il s’affine actuellement avec la notion de région ichyo-géographique. A chaque niveau typologique correspond un édifice biologique théorique qui lui est propre. On distingue en premier lieu le niveau typologique théorique (noté T0 à T9) calculé à partir des six paramètres abiotiques et le niveau typologique biologique (noté B0 à B9) estimé à partir des communautés vivantes. L'écart entre un peuplement installé sur un point et celui que l'on devrait normalement y trouver renseigne sur l'intensité des dégradations du milieu. Dans la pratique, seuls les peuplements de poissons sont couramment utilisés pour la définition du niveau typologique biologique. On distingue deux niveaux typologiques théoriques : - le niveau typologique théorique originel c’est-à-dire le niveau typologique qui serait obtenu si la rivière n’avait subi aucune perturbation, - le niveau typologique théorique constaté qui prend en compte les influences anthropiques qui viendraient à modifier tout ou partie des six paramètres abiotiques de base (par exemple augmentation de la température ou de la dureté par rejets, augmentation de la section mouillée par création de biefs...). C’est le niveau typologique biologique théorique qui est pris en compte ici. Il est calculé sur la base de données disponibles dans la bibliographie (compte rendu de pêches éléctriques...) dont on ne conservera que les références. Le calcul du niveau typologique biologique relève de la responsabilité du producteur de données.
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Le cortège des espèces floristiques et faunistiques d’un cours d’eau évolue naturellement de l’amont vers l’aval des cours d’eau sous l’influence des changements de certains paramètres abiotiques (c’est-à-dire non biologiques : minéralisation de l...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NiveauTypologiqueTheoriqueOriginel
NiveauTypologiqueTheoriqueOriginel
Le cortège des espèces floristiques et faunistiques d’un cours d’eau évolue naturellement de l’amont vers l’aval des cours d’eau sous l’influence des changements de certains paramètres abiotiques (c’est-à-dire non biologiques : minéralisation de l’eau, vitesse du courant, température de l’eau, etc...). Le niveau typologique s'inscrit dans un système de zonation amont-aval représentatif de ce phénomène et décrit pour la première fois par Verneaux (Verneaux, J. (1977) Biotypologie de l’écosystème « eau courante ». Déterminisme approché de la structure biotypologique, pp. 77-79, compte rendu de l’académie des sciences de Paris, Série D, Paris). Il s’affine actuellement avec la notion de région ichyo-géographique. A chaque niveau typologique correspond un édifice biologique théorique qui lui est propre. On distingue en premier lieu le niveau typologique théorique (noté T0 à T9) calculé à partir des six paramètres abiotiques et le niveau typologique biologique (noté B0 à B9) estimé à partir des communautés vivantes. L'écart entre un peuplement installé sur un point et celui que l'on devrait normalement y trouver renseigne sur l'intensité des dégradations du milieu. Dans la pratique, seuls les peuplements de poissons sont couramment utilisés pour la définition du niveau typologique biologique. On distingue deux niveaux typologiques théoriques : - le niveau typologique théorique constaté qui prend en compte les influences anthropiques qui viendraient à modifier tout ou partie des six paramètres abiotiques de base (par exemple augmentation de la température ou de la dureté par rejets, augmentation de la section mouillée par création de biefs...). - le niveau typologique théorique originel c’est-à-dire le niveau typologique qui serait obtenu si la rivière n’avait subi aucune perturbation, C’est ce dernier indice qui est pris en compte ici. Il est calculé à l’aide des six éléments suivants relevés au droit de la station : - température maximale moyenne du mois le plus chaud, - dureté totale, - section mouillée à l'étiage, - largeur moyenne du lit mineur, - pente de la ligne d'eau, - distance estimative aux sources. Cet indice est invariant en un point donné. Cependant, la connaissance du milieu pouvant s'améliorer par une plus grande précision des valeurs de l'un des six éléments composant l'indice, des ajustements sont susceptibles d'être opérés sur un point donné. Seul le dernier des ajustements sera conservé et daté. Le calcul des niveaux typologiques théoriques originels relève de la responsabilité du producteur de données.
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La station de mesure de la qualité des eaux de surface est localisée géographiquement en un point toujours unique mais les coordonnées X et Y de ce point peuvent être saisies dans différents systèmes de projection. Les coordonnées principales de ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/AutreCoordStationMesureEauxSurf
AutreCoordStationMesureEauxSurf
La station de mesure de la qualité des eaux de surface est localisée géographiquement en un point toujours unique mais les coordonnées X et Y de ce point peuvent être saisies dans différents systèmes de projection. Les coordonnées principales de la station de mesure sont indiquées comme information de la station de mesure. Les coordonnées dans un autre système de projection sont indiquées dans les autres coordonnées de la station de mesure. Cette information est administrée par les Agences de l'Eau et relève de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Une station de mesure, et plus particulièrement ses points de prélèvement sont généralement créés à la suite de la mise en place d'un réseau de mesure. Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'obje...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/AppartenanceReseauMesure
AppartenanceReseauMesure
Une station de mesure, et plus particulièrement ses points de prélèvement sont généralement créés à la suite de la mise en place d'un réseau de mesure. Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la période d'appartenance sera précisée. Lorsque le point de prélèvement n'est pas connu ou n'existe pas, il est indiqué "Sans objet", c'est à dire "XXX". Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
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Les intervenants sont tous les organismes ayant un ou plusieurs rôle(s) en tant qu’acteur de l’eau et qui sont référencés dans les bases de données respectant le formalisme du SANDRE. Ils sont identifiés dans les échanges de données par leur code ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/INT/2.0/Intervenant
Informateur
Les intervenants sont tous les organismes ayant un ou plusieurs rôle(s) en tant qu’acteur de l’eau et qui sont référencés dans les bases de données respectant le formalisme du SANDRE. Ils sont identifiés dans les échanges de données par leur code SIRET. Quand ce dernier ne peut pas exister car l'intervenant ne rentre pas dans le domaine d'application du registre national ou lorsque ce code ne permet pas d’identifier de manière univoque l’intervenant (cas des structures incluses dans une structure plus générale), il est alors identifié par son code SANDRE. Ils se partagent entre plusieurs catégories dont : - laboratoire d'analyse, - préleveur, - opérateur en hydrométrie, - laboratoire d'hydrobiologie, - organisme chargé de la police des eaux, - producteur/ gestionnaire, - … Deux informations sont utilisées pour identifier un intervenant : son code et le code SIRET de l’organisme auquel il est rattaché : - Cas 1 : l’organisme est SIRETE, par exemple un laboratoire. Le code SIRET est utilisé, aucun code SANDRE n’est indiqué. L’attribut “ code SIRET de l’organisme auquel est rattaché l’intervenant ” n’est pas rempli, - Cas 2 : l’organisme n’a pas de code SIRET, dans ce cas, il est attribué un code SANDRE. L’attribut “ code SIRET de l’organisme auquel est rattaché l’intervenant ” n’est pas rempli, - Cas 3 : l’organisme n’a pas de code SIRET en tant qu’établissement mais est rattaché à une structure, par exemple le SATESE rattaché au Conseil Général. Dans ce cas, il est attribué un code SANDRE et l’attribut “ code SIRET de l’organisme auquel est rattaché l’intervenant ” est rempli avec le code SIRET, dans l’exemple, celui du Conseil Général. La liste nationale des codes SANDRE des intervenants est établie sous la responsabilité du SANDRE. Le code SIRET est établi par l'INSEE.
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La commune est une des circonscriptions administratives pivots du découpage administratif du territoire national. Elle est identifiée par un code alphanumérique sur 5 positions attribué par l'INSEE - à ne pas confondre avec le code postal. La not...

http://id.eaufrance.fr/ddd/COM/2.0/Commune
CommuneRattachee
La commune est une des circonscriptions administratives pivots du découpage administratif du territoire national. Elle est identifiée par un code alphanumérique sur 5 positions attribué par l'INSEE - à ne pas confondre avec le code postal. La notion de commune ne doit pas être confondue avec celle de "ville nouvelle" qui fait l'objet de la loi n°70-610 du 10 juillet 1970. Cette dernière définit un certain nombre de dispositions tendant à faciliter la création "d'agglomérations nouvelles", communément appelées "villes nouvelles". Pour mieux répondre à certains de leurs besoins qui sont communs à d'autres collectivités territoriales et qui dépassent souvent le cadre et les capacités d'une entité communale, les communes peuvent adhérer à une ou plusieurs institutions inter collectivités territoriales à chacune desquelles elles délégueront une ou plusieurs compétences dans le but de mettre en commun les moyens indispensables pour atteindre leurs objectifs. Une commune peut également avoir un ou plusieurs liens avec une ou plusieurs communes à la suite de l'évolution du découpage communal (scission ou fusion de communes...). A chaque lien, il sera précisé dans les attributs "Nature de l'évolution" et "Date de l'évolution" du lien "Historique du découpage communal", la nature de l'évolution ainsi que la date à laquelle elle intervient. Certaines communes tiennent le rôle de chef lieu pour les régions, les départements, les arrondissements et les cantons. La liste des communes est sous la responsabilité de l'INSEE.
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Relations externe:

La masse d'eau est le découpage territorial élémentaire des Milieux aquatiques destinée à être l'unité d'évaluation de la DCE.

http://id.eaufrance.fr/ddd/MDO/1.1/MasseDEau
Mdo
La masse d'eau est le découpage territorial élémentaire des Milieux aquatiques destinée à être l'unité d'évaluation de la DCE.
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Succède à

Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. Cette information est sous la responsabilité du ou des organismes producteurs de données qui utilisent la station de mesure.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/SuccessionStationMesureEauxSurface
SuccessionStationMesureEauxSurface

Liste des propriétés:

Cet attribut indique les raisons pour lesquelles une station de mesure a été déplacée : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Cette information est sous la responsabilité du ou des organismes producteurs de données qui utilisent la ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/RaisonsRemplacement
RaisonsRemplacement
Cet attribut indique les raisons pour lesquelles une station de mesure a été déplacée : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Cette information est sous la responsabilité du ou des organismes producteurs de données qui utilisent la station de mesure.
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cct:TextType
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Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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TRANSECT

La notion de transect est utilisée uniquement dans la méthodologie d’étude des communautés de macrophytes en plans d’eau (Novembre 2007, CEMAGREF) Un transect est une ligne le long du plan d’eau (secteur de rive) ou bien perpendiculaire à la rive, sur laquelle sont réalisés des relevés floristiques. ATTENTION, un transect en plan d’eau, tout comme une unité d’observation, ne constitue pas un POINT DE PRELEVEMENT en plan d’eau. Conformément à la méthodologie d’étude des communautés de macrophytes en plans d’eau, un POINT DE PRELEVEMENT macrophytes en plan d’eau correspond à l’ensemble des 12 à 32 transects identifiés au sein d’un même plan d’eau, sur lesquels des relevés floristiques sont établis au cours d’une opération de prélèvement biologique, contribuant à la détermination d’un résultat d’indice macrophytique (en cours de définition) à l’échelle du plan d’eau. Un prélèvement élémentaire correspond à un relevé floristique effectué : · Soit sur un transect longitudinal (zone littorale) · Soit sur un point contact d’un transect transversal (profil perpendiculaire à la rive), la profondeur de chaque point contact étant à renseigner au niveau de l’attribut « Profondeur du prélèvement » Chaque relevé floristique donne lieu à une seule liste floristique. Ce sont les résultats de l’ensemble de ces listes floristiques qui permettent de déterminer le résultat d’indice macrophytique (en cours de définition), à l’issue d’une opération de prélèvement. »

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/Transect
Transect

Liste des propriétés:

Chaque transect est assimilé du point de vue de sa géolocalisation, à une ligne dont les extrémités peuvent être caractérisées par leurs coordonnées géographiques. Un transect est caractérisé par un code interne identifiant celui-ci au sein du poi...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/IdTransect
IdTransect
Chaque transect est assimilé du point de vue de sa géolocalisation, à une ligne dont les extrémités peuvent être caractérisées par leurs coordonnées géographiques. Un transect est caractérisé par un code interne identifiant celui-ci au sein du point de prélèvement auquel il appartient.
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cct:IdentifierType

Coordonnée X de début de transect. Les règles d'acquisition des coordonnées géographiques des transects sont identiques à celles définies pour les coordonnées d'un point de prélèvement. Le type de projection est celui précisée dans l'attribut "Ty...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordXDebTransect
CoordXDebTransect
Coordonnée X de début de transect. Les règles d'acquisition des coordonnées géographiques des transects sont identiques à celles définies pour les coordonnées d'un point de prélèvement. Le type de projection est celui précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE.
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cct:NumericType

Coordonnée Y de début de transect. Les règles d'acquisition des coordonnées géographiques des transects sont identiques à celles définies pour les coordonnées d'un point de prélèvement. Le type de projection est celui précisée dans l'attribut "Ty...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordYDebTransect
CoordYDebTransect
Coordonnée Y de début de transect. Les règles d'acquisition des coordonnées géographiques des transects sont identiques à celles définies pour les coordonnées d'un point de prélèvement. Le type de projection est celui précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE.
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cct:NumericType

Coordonnée X de fin de transect. Les règles d'acquisition des coordonnées géographiques des transects sont identiques à celles définies pour les coordonnées d'un point de prélèvement. Le type de projection est celui précisée dans l'attribut "Type...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordXFinTransect
CoordXFinTransect
Coordonnée X de fin de transect. Les règles d'acquisition des coordonnées géographiques des transects sont identiques à celles définies pour les coordonnées d'un point de prélèvement. Le type de projection est celui précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE.
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cct:NumericType

Coordonnée Y de début de transect. Les règles d'acquisition des coordonnées géographiques des transects sont identiques à celles définies pour les coordonnées d'un point de prélèvement. Le type de projection est celui précisée dans l'attribut "Ty...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CoordYFinTransect
CoordYFinTransect
Coordonnée Y de début de transect. Les règles d'acquisition des coordonnées géographiques des transects sont identiques à celles définies pour les coordonnées d'un point de prélèvement. Le type de projection est celui précisée dans l'attribut "Type de projection" de la STATION DE MESURE.
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cct:NumericType

Le type de transect précise la forme générale du transect sur le plan d’eau. Les transects peuvent être soit transversaux (perpendiculaires à la rive - Valeur T), soit longitudinaux (parallèles à la rive- Valeur L). Cette liste de valeurs possi...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/TypeTransect
TypeTransect
Le type de transect précise la forme générale du transect sur le plan d’eau. Les transects peuvent être soit transversaux (perpendiculaires à la rive - Valeur T), soit longitudinaux (parallèles à la rive- Valeur L). Cette liste de valeurs possibles est définie dans la nomenclature n°493.
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La longueur du transect est la longueur d’investigation à partir du point de départ du transect longitudinal ou transversal. Elle est exprimée en mètres

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/LgTransect
LgTransect
La longueur du transect est la longueur d’investigation à partir du point de départ du transect longitudinal ou transversal. Elle est exprimée en mètres
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La largeur du transect est la largeur d’investigation qui peut dépendre du protocole d’échantillonnage pour les 2 types de transect ou de la zone euphotique (largeur dépendant de la bathymétrie du plan d’eau pour les transects longitudinaux. Elle ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/LargTransect
LargTransect
La largeur du transect est la largeur d’investigation qui peut dépendre du protocole d’échantillonnage pour les 2 types de transect ou de la zone euphotique (largeur dépendant de la bathymétrie du plan d’eau pour les transects longitudinaux. Elle est exprimée en mètres.
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cct:NumericType

La profondeur du point de prélèvement correspond à la profondeur où se situe la fin du transect, en supposant que le début du transect débute au niveau de la rive. Cette information concerne uniquement les transects transversaux. Elle est exprimée...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/ProfTransect
ProfTransect
La profondeur du point de prélèvement correspond à la profondeur où se situe la fin du transect, en supposant que le début du transect débute au niveau de la rive. Cette information concerne uniquement les transects transversaux. Elle est exprimée en mètres.
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Numéro de l'unité d'observation auquel appartient le transect en plan d'eau. Cette notion d'unité d'observation est défini dans la méthodologie d'étude des communautés de macrophytes en plan d'eau. Une unité d'observation est composée d'un transec...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/NumUniteObsTransect
NumUniteObsTransect
Numéro de l'unité d'observation auquel appartient le transect en plan d'eau. Cette notion d'unité d'observation est défini dans la méthodologie d'étude des communautés de macrophytes en plan d'eau. Une unité d'observation est composée d'un transect longitudinal et de trois transects perpendiculaires à la rive.
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Liste des associations:

Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfon...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PointPrelEauxSurf
PointPrelEauxSurf
Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Tronçon de l'entité hydrographique secondaire

Si une station de mesure est placée sur un tronçon physique d'un cours d'eau commun à plusieurs entité hydrographiques, elle possède alors plusieurs PKM (exemple de la Meuse et du Canal de l'Est). Parmi les entités hydrographiques, une seule est désignée comme principale par rapport à laquelle est établi le PKM du point caractéristique. Les autres entités hydrographiques sont qualifiées de secondaires et servent de base au calcul aux PKM du point caractéristique sur les tronçons des entités secondaires. L'attribution des codes hydrographiques et des PKM relèvent de la responsabilité des Agences de l'Eau.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/TronconEntiteHydrographiqueSecondaire
TronconEntiteHydrographiqueSecondaire

Liste des propriétés:

La localisation de la station sur le tronçon hydrographique est obtenue à partir du point kilométrique (pk) qui est l'abscisse curviligne de la station le long d'une entité hydrographique, mesurée sur la base de sa géométrie dans la BD Carthage et...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/PkPointTronconEntiteHydroSecondaire
PkPointTronconEntiteHydroSecondaire
La localisation de la station sur le tronçon hydrographique est obtenue à partir du point kilométrique (pk) qui est l'abscisse curviligne de la station le long d'une entité hydrographique, mesurée sur la base de sa géométrie dans la BD Carthage et exprimée en kilomètres avec la précision du décamètre. Si une station de mesure est placée sur un tronçon physique d'un cours d'eau commun à plusieurs entité hydrographiques, elle possède alors plusieurs pk (exemple de la Meuse et du Canal de l'Est). Parmi les entités hydrographiques, une seule est désignée comme principale par rapport à laquelle est établi le pk du point caractéristique. Les autres entités hydrographiques sont qualifiées de secondaires et servent de base au calcul aux pk du point caractéristique sur les tronçons des entités secondaires. L'attribution d'un pk relève de la responsabilité des Agences de l'Eau.
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Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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Le tronçon hydrographique est une notion définie par la circulaire n°91-50 : “ le tronçon hydrographique est une entité ou partie d'entité située intégralement à l'intérieur d'une zone hydrographique. ” Un tronçon hydrographique forme l'intersec...

http://id.eaufrance.fr/ddd/ETH/2002-1/TronconHydrographique
TronconHydrographique
Le tronçon hydrographique est une notion définie par la circulaire n°91-50 : “ le tronçon hydrographique est une entité ou partie d'entité située intégralement à l'intérieur d'une zone hydrographique. ” Un tronçon hydrographique forme l'intersection entre une entité hydrographique et une zone hydrographique, identifiée de façon unique sur le plan national à l'aide d'un code hydrographique. Il peut être découpé en éléments hydrographiques distinguant le sous-milieu, codifié suivant une lettre en 8ème position. Le tronçon hydrographique est défini par un point kilométrique amont et un point kilométrique aval mesuré à partir de l’exutoire/embouchure du cours d’eau sur lequel il est situé. Le point kilométrique hydrographique (pk) permet de repérer un point sur le linéaire d'une entité. Au sens de la codification hydrographique, le point kilométrique 1000 étant pris pour origine, le pk d'un point est défini comme le complément à 1000 km de la distance entre ce point et cette origine dans un référentiel cartographique donné. Le tronçon hydrographique ne doit pas être confondu avec le tronçon hydrographique élémentaire : en effet, le tronçon élémentaire est un découpage d’un cours d’eau en arcs selon un ensemble d’attributs homogènes issu de la représentation cartographique du référentiel. Le tronçon hydrographique de la circulaire sera généralement constitué de plusieurs tronçons hydrographiques élémentaires. L'identification et la délimitation des tronçons, et plus généralement la mise en place de la codification hydrographique, est sous la responsabilité des Agences de l'Eau.
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TYPE DE ZONAGE PROTEGEE DCE

La station de mesure est localisée sur une ou plusieurs zones protégées (au sens DCE), i.e. selon l'annexe IV de la Directive Cadre sur l'Eau : i) les zones désignées pour le captage d'eau destinée à la consommation humaine en application de l'article 7; ii) les zones désignées pour la protection des espèces aquatiques importantes du point de vue économique; iii) les masses d'eau désignées en tant qu'eaux de plaisance, y compris les zones désignées en tant qu'eaux de baignade dans le cadre de la directive 76/160/CEE; iv) les zones sensibles du point de vue des nutriments, notamment les zones désignées comme vulnérables dans le cadre de la directive 91/676/CEE sur les nitrates, et les zones désignées comme sensibles dans le cadre de la directive 91/271/CEE, et v) les zones désignées comme zone de protection des habitats et des espèces et où le maintien ou l'amélioration de l'état des eaux constitue un facteur important de cette protection, notamment les sites Natura 2000 pertinents désignés dans le cadre de la directive 92/43/CEE(1) et de la directive 79/409/CEE(2). La liste des valeurs autorisées est la suivante : Nomenclature : Type de zone protégée DCE / MDO / 2004 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- PA5 ! ! Zones de protection des habitats (Natura 2000) pertinentes PA1 ! ! Zone de protection des eaux potables PA2 ! ! Zones conchylicoles PA4A ! ! Zones sensibles PA4B ! ! Zones vulnérables PA6 ! ! Zones de protection des oiseaux (ZPS) ---------------------------------------------------------------------- Zones conchylicoles : ----------------------- Zones désignées pour la protection des espèces aquatiques présentant un intérêt économique (zones conchylicoles). Les zones conchylicoles sont des zones de production ou de reparcage. Zones de protection des oiseaux (ZPS) : ----------------------------------------- La directive "Oiseaux", Directive 79-409 / CEE du Conseil du 2 avril 1979 concernant la conservation des oiseaux sauvages, organise la protection des oiseaux dans les Etats membres et celle de leurs habitats. Zones sensibles : ------------------- L'article 6 du décret n°94-469 du 3 juin 1994 définit la zone sensible comme suit : "Les zones sensibles comprennent les masses d'eau significatives à l'échelle du bassin qui sont particulièrement sensibles aux pollutions, notamment celles qui sont assujettis à l'eutrophisation et dans lesquelles les rejets de phosphore, d'azote, ou de ces deux substances, doivent, s'ils sont en cause de ce déséquilibre, être réduits. Un arrêté du ministre chargé de l'environnement, pris après l'avis de la mission interministérielle de l'eau et du Comité national de l'eau, peut, en tant que de besoin, préciser les critères d'identification de ces zones." Il s’agit de bassins versants, lacs ou zones maritimes qui sont particulièrement sensibles aux pollutions, notamment des zones qui sont sujettes à l'eutrophisation et dans lesquelles les rejets de phosphore, d'azote, ou de ces deux substances, doivent être réduits. Il peut également s’agir de zones dans lesquelles un traitement complémentaire (traitement de l’azote ou de la pollution microbiologique) est nécessaire afin de satisfaire aux directives du Conseil dans le domaine de l’eau (directive “ eaux brutes ”, “ baignade ” ou “ conchyliculture ”). Zones vulnérables : --------------------- Les zones vulnérables sont les terres désignées conformément à l'article 3 paragraphe 2 de la Directive Européenne n°91-676 dont les objectifs consignés dans son premier article sont : • réduire la pollution des eaux provoquées ou induites par les nitrates à partir de sources agricoles, • et prévenir toute nouvelle pollution de ce type. Une zone vulnérable est une partie du territoire où la pollution des eaux par le rejet direct ou indirect de nitrates d’origine agricole ou d’autres composés azotés susceptibles de se transformer en nitrates, menace à court terme la qualité des milieux aquatiques et plus particulièrement l’alimentation en eau potable. Sont désignées comme zones vulnérables, les zones où : • les eaux douces superficielles et souterraines, notamment celles destinées à l'alimentation en eau potable, ont ou risquent d'avoir une teneur en nitrates supérieure à 50 mg/l, • les eaux des estuaires, les eaux côtières ou marines et les eaux douces superficielles qui ont subi ou montrent une tendance à l'eutrophisation susceptible d'être combattue de manière efficace par une réduction des apports en azote. Zone de protection des eaux potables : -------------------------------------- La directive n°75/440/CEE concerne les exigences auxquelles doit satisfaire la qualité des eaux douces superficielles utilisées ou destinées à être utilisées à la production d'eau alimentaire ci-après dénommées eaux superficielles , après application des traitements appropriés. Les eaux souterraines, les eaux saumâtres et les eaux destinées à la réalimentation des nappes souterraines ne sont pas soumises à la présente directive. Sont considérées, pour l'application de la directive n°75/440/CEE , comme eau alimentaire, toutes les eaux superficielles destinées à la consommation humaine et fournies par des réseaux de canalisation à l'usage de la collectivité. Zones de protection des habitats (Natura 2000) pertinentes : ------------------------------------------------------------- La Directive 92-43 / CEE du Conseil du 21 mai 1992 concernant la conservation des habitats naturels (ne pas confondre avec les habitations) ainsi que de la faune et de la flore sauvages, elle prévoit la constitution d'un réseau de sites (le réseau Natura 2000) abritant les habitats naturels et les habitats d'espèces de faune et de flore sauvages d'intérêt communautaire. Elle comprend notamment une annexe I (habitats naturels), une annexe II (espèces animales et végétales) pour lesquels les Etats membres doivent désigner des Zones Spéciales de Conservation et une annexe III relative aux critères de sélection des sites. Pour la désignation des sites Natura 2000 pertinents, une sélection des espèces animales (oiseaux et autres) et végétales liées à l’eau a été faite parmi les sites Natura 2000. Fin de la nomenclature

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/TypeZPDCE
TypeZPDCE

Liste des propriétés:

Le code du type de zone protégée est un identifiant attribué à chaque type de zone protégée définie dans l'annexe IV de la Directive Cadre sur l'eau. Ce code s'appuie sur le guide européen sur la cartographie des masses d'eau. Nomenclature : Typ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/CdTypeZPDCE
CdTypeZPDCE
Le code du type de zone protégée est un identifiant attribué à chaque type de zone protégée définie dans l'annexe IV de la Directive Cadre sur l'eau. Ce code s'appuie sur le guide européen sur la cartographie des masses d'eau. Nomenclature : Type de zone protégée DCE / MDO / 2004 ---------------------------------------------------------------------- Code ! Mnémonique ! Libellé ---------------------------------------------------------------------- PA5 ! ! Zones de protection des habitats (Natura 2000) pertinentes PA1 ! ! Zone de protection des eaux potables PA2 ! ! Zones conchylicoles PA4A ! ! Zones sensibles PA4B ! ! Zones vulnérables PA6 ! ! Zones de protection des oiseaux (ZPS) ---------------------------------------------------------------------- Zones conchylicoles : ----------------------- Zones désignées pour la protection des espèces aquatiques présentant un intérêt économique (zones conchylicoles). Les zones conchylicoles sont des zones de production ou de reparcage. Zones de protection des oiseaux (ZPS) : ----------------------------------------- La directive "Oiseaux", Directive 79-409 / CEE du Conseil du 2 avril 1979 concernant la conservation des oiseaux sauvages, organise la protection des oiseaux dans les Etats membres et celle de leurs habitats. Zones sensibles : ------------------- L'article 6 du décret n°94-469 du 3 juin 1994 définit la zone sensible comme suit : "Les zones sensibles comprennent les masses d'eau significatives à l'échelle du bassin qui sont particulièrement sensibles aux pollutions, notamment celles qui sont assujettis à l'eutrophisation et dans lesquelles les rejets de phosphore, d'azote, ou de ces deux substances, doivent, s'ils sont en cause de ce déséquilibre, être réduits. Un arrêté du ministre chargé de l'environnement, pris après l'avis de la mission interministérielle de l'eau et du Comité national de l'eau, peut, en tant que de besoin, préciser les critères d'identification de ces zones." Il s’agit de bassins versants, lacs ou zones maritimes qui sont particulièrement sensibles aux pollutions, notamment des zones qui sont sujettes à l'eutrophisation et dans lesquelles les rejets de phosphore, d'azote, ou de ces deux substances, doivent être réduits. Il peut également s’agir de zones dans lesquelles un traitement complémentaire (traitement de l’azote ou de la pollution microbiologique) est nécessaire afin de satisfaire aux directives du Conseil dans le domaine de l’eau (directive “ eaux brutes ”, “ baignade ” ou “ conchyliculture ”). Zones vulnérables : --------------------- Les zones vulnérables sont les terres désignées conformément à l'article 3 paragraphe 2 de la Directive Européenne n°91-676 dont les objectifs consignés dans son premier article sont : • réduire la pollution des eaux provoquées ou induites par les nitrates à partir de sources agricoles, • et prévenir toute nouvelle pollution de ce type. Une zone vulnérable est une partie du territoire où la pollution des eaux par le rejet direct ou indirect de nitrates d’origine agricole ou d’autres composés azotés susceptibles de se transformer en nitrates, menace à court terme la qualité des milieux aquatiques et plus particulièrement l’alimentation en eau potable. Sont désignées comme zones vulnérables, les zones où : • les eaux douces superficielles et souterraines, notamment celles destinées à l'alimentation en eau potable, ont ou risquent d'avoir une teneur en nitrates supérieure à 50 mg/l, • les eaux des estuaires, les eaux côtières ou marines et les eaux douces superficielles qui ont subi ou montrent une tendance à l'eutrophisation susceptible d'être combattue de manière efficace par une réduction des apports en azote. Zone de protection des eaux potables : -------------------------------------- La directive n°75/440/CEE concerne les exigences auxquelles doit satisfaire la qualité des eaux douces superficielles utilisées ou destinées à être utilisées à la production d'eau alimentaire ci-après dénommées eaux superficielles , après application des traitements appropriés. Les eaux souterraines, les eaux saumâtres et les eaux destinées à la réalimentation des nappes souterraines ne sont pas soumises à la présente directive. Sont considérées, pour l'application de la directive n°75/440/CEE , comme eau alimentaire, toutes les eaux superficielles destinées à la consommation humaine et fournies par des réseaux de canalisation à l'usage de la collectivité. Zones de protection des habitats (Natura 2000) pertinentes : ------------------------------------------------------------- La Directive 92-43 / CEE du Conseil du 21 mai 1992 concernant la conservation des habitats naturels (ne pas confondre avec les habitations) ainsi que de la faune et de la flore sauvages, elle prévoit la constitution d'un réseau de sites (le réseau Natura 2000) abritant les habitats naturels et les habitats d'espèces de faune et de flore sauvages d'intérêt communautaire. Elle comprend notamment une annexe I (habitats naturels), une annexe II (espèces animales et végétales) pour lesquels les Etats membres doivent désigner des Zones Spéciales de Conservation et une annexe III relative aux critères de sélection des sites. Pour la désignation des sites Natura 2000 pertinents, une sélection des espèces animales (oiseaux et autres) et végétales liées à l’eau a été faite parmi les sites Natura 2000. Fin de la nomenclature
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Le libellé de la zone protégée est un texte explicit court décrivant l'une des occurences possibles d'un type de zone protégée selon l'annexe IV de la Directive Cadre sur l'eau. Seul le code est obligatoire.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/LbTypeZPDCE
LbTypeZPDCE
Le libellé de la zone protégée est un texte explicit court décrivant l'une des occurences possibles d'un type de zone protégée selon l'annexe IV de la Directive Cadre sur l'eau. Seul le code est obligatoire.
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La définition de la zone protégée est un texte décrivant et explicitant chaque occurence possible d'un type de zone protégée selon l'annexe IV de la Directive Cadre sur l'eau. Seul le code est obligatoire.

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/DfTypeZPDCE
DfTypeZPDCE
La définition de la zone protégée est un texte décrivant et explicitant chaque occurence possible d'un type de zone protégée selon l'annexe IV de la Directive Cadre sur l'eau. Seul le code est obligatoire.
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Liste des associations:

La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité ...

http://id.eaufrance.fr/ddd/STQ/2.1/StationMesureEauxSurface
StationMesureEauxSurface
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur lequel sont effectués des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Dans le cadre du suivi de la qualité des plans d'eau (au sens défini par le Sandre), une et une seule station appartient à un seul plan d’eau et inversement on considère qu’un plan d’eau possède qu’une seule station. La station est donc équivalente au plan d’eau. Elle a le même nom, le même code et les mêmes caractéristiques que le plan d'eau. Les informations relatives à la station sont celles du plan d’eau (code, nom et autres caractéristiques). Pour une exploitation cartographique, statistique ou autre, des mesures effectuées, les données obtenues sur la station sont ramenées à un point : le point caractéristique de la station. La description de la station de mesure comprend également les informations suivantes, fournies par le ou les organismes en charge de la gestion de la station : - le ou les organismes qui peuvent donner des informations sur la station de mesure, - la ou les stations hydrométriques de rattachement, - la ou les natures géologiques du bassin versant topographique et du lit du cours d'eau au droit de la station, - la commune où est implantée la station ainsi que la ou les communes limitrophes, - les codes hydrographiques et les pk du point caractéristique de la station sur les entités hydrographiques secondaires ou l'entité hydrographique, - le ou les réseaux de mesures auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les autres utilisations possibles (études,...) auquels la station de mesure est rattaché, - le ou les exceptions typologiques qui caractérisent la zone géographique où la station de mesure est située, - et le ou les points de prélèvements définis sur la station. Une station de mesure de la qualité des eaux superficielles peut être déplacée pour des raisons diverses : construction d'un pont, mise en place d'un rejet... Si la finalité de la station est conservée et que les résultats obtenus sur la nouvelle station sont cohérents avec l'ancienne, il est possible d'établir un lien entre ces deux stations qui indique le déplacement ainsi que les raisons de ce déplacement. La mesure des paramètres sur une station peut être manuelle, c'est à dire avec l'intervention d'un préleveur, ou automatique grâce à l'existence sur les lieux de la station d'un appareillage qui effectue et mémorise automatiquement les mesures. Une station de mesure sera manuelle quand la mesure de tous les paramètres nécessite une intervention humaine. Elle sera dite 'automatique' quand il existe un appareillage automatique (capteur(s), centrale d'acquisition, ...) qui mesure au moins un des paramètres habituellement mesurés sur la station. Ainsi, une station peut être automatique et avoir des mesures pour certains paramètres effectuées manuellement. La fréquence de mesures effectuées manuellement seront précisées dans l'attribut 'Fréquence des analyses' de l'objet 'Périodicité des analyses effectuées sur la station'. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée
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